Piles à combustibles

Piles à combustibles

Pile à combustible

Pile à combustible au méthanol

Une pile à combustible est une pile où la fabrication de l'électricité se fait grâce à l'oxydation sur une électrode d'un combustible réducteur (par exemple l'hydrogène) couplée à la réduction sur l'autre électrode d'un oxydant, tel que l'oxygène de l'air.

Sommaire

Historique

  • 1932 : Reprise des études au sujet de la pile à combustible par Francis T. Bacon, qui réalise un premier prototype de kW en 1953, puis kW en 1959. Ce prototype servira de modèle pour les futures piles à combustible utilisées lors des missions spatiales Apollo.
  • Le très long laps de temps (plus d'un siècle) qui s'est écoulé entre la réalisation du premier modèle de pile à combustible et les premières utilisations s'explique par le très fort développement qu'ont connu les autres types de générateurs d'énergie électrique et par le fait que le coût des matériaux utilisés dans la pile à combustible reste encore actuellement élevé.

En 2007, il semble que les PAC fonctionnant au méthanol destinées à alimenter l'électronique portable seront commercialisées avant celles destinées à l'industrie automobile.

Ce n'est que mi-2007 que sous l'égide du Japon un début de réflexion sur des normes, règles et standards de fabrication et de sûreté a commencé, de manière à faciliter l'usage généralisé de ces PAC. Le Japon espère ainsi réduire de 50 % ses émissions de CO2 liées à la petite électronique, en proposant par ailleurs des batteries dont l'autonomie sera multipliée par trois[1].

Généralités

Une pile à combustible est une pile où la fabrication de l'électricité se fait grâce à l'oxydation sur une électrode d'un combustible réducteur (par exemple le dihydrogène) couplée à la réduction sur l'autre électrode d'un oxydant, tel que le dioxygène de l'air. La réaction d'oxydation de l'hydrogène est accélérée par un catalyseur qui est généralement du platine. Si d'autres combinaisons sont possibles, la pile la plus couramment étudiée et utilisée est la pile dihydrogène-dioxygène ou dihydrogène-air.

Pile à combustible à l'hydrogène

Le fonctionnement d'une pile dihydrogène-dioxygène est particulièrement propre puisqu'il ne produit que de l'eau et consomme uniquement des gaz. Mais jusqu'en 2006, la fabrication de ces piles est très coûteuse, notamment à cause de la quantité non négligeable de platine nécessaire.

Une des difficultés majeures réside dans la synthèse et l'approvisionnement en dihydrogène. Sur Terre, l'hydrogène n'existe en grande quantité que combiné à l'oxygène (H2O, c'est à dire l'eau), au soufre (H2S) et au carbone (combustibles fossiles de types gaz ou pétroles). La production de dihydrogène nécessite donc soit de consommer des combustibles fossiles, soit de disposer d'énormes quantités d'énergie à faible coût, pour l'obtenir à partir de la décomposition de l'eau, par voie thermique ou électrochimique.

Ensuite, le dihydrogène peut être comprimé dans des bouteilles à gaz (pression en général de 350 ou 700 bars), ou liquéfié ou combiné chimiquement sous forme de méthanol ou de méthane qui seront ensuite transformés pour libérer du dihydrogène. Les rendements énergétiques cumulés des synthèses du dihydrogène, de compression ou liquéfaction, sont généralement assez faibles. Le dihydrogène n'est donc pas une source d'énergie primaire, c'est un simple vecteur d'énergie difficile à produire et à stocker.

Principe de fonctionnement

Schéma d'une pile à combustible.

La pile à combustible fonctionne à l'inverse de l'électrolyse de l'eau pure. Elle transforme l'énergie chimique en énergie électrique directement. C'est un générateur.

  • Elle est semblable à une pile ordinaire. Elle possède une cathode et une anode séparées par un électrolyte qui assure entre autres le passage du courant par transfert ionique des charges.
  • Comme une pile classique, elle consomme son oxydant (ici le dioxygène O2) et son réducteur (ici le dihydrogène H2). Elle continue de fonctionner tant qu'elle est approvisionnée en dihydrogène et dioxygène. Le réducteur peut être aussi du méthanol ou du gaz naturel.
  1. À l'anode, a lieu la réaction d'oxydation suivante : H2 → 2H+ + 2e
  2. Il y a donc production de deux électrons par molécule de dihydrogène.
  3. L'ion H+ passe de l'anode à la cathode et provoque un courant électrique par transfert des électrons dans le circuit électrique.
  4. À la cathode, les ions H+ sont consommés suivant la réaction de réduction: O2 + 4H+ + 4e → 2H2O

La force électromotrice (la tension à courant nul) théorique produite est de 1,23 V pour une pile fonctionnant à 25 °C avec de l'oxygène et de l'hydrogène purs à 1 bar. En pratique, la tension fournie par une pile débitant un courant électrique évolue généralement entre 0,5 et 0,8 V : cette perte de potentiel trouve son origine dans différents phénomènes physiques qui se produisent au niveau des électrodes, de l'électrolyte et des dispositifs de distribution des réactifs et d'évacuation des produits (chutes ohmiques et tensions de contact)(en savoir plus).

  • Une pile à combustible alimentée en hydrogène et en air ne produit que de l'eau dont on peut parfois observer directement la condensation lorsqu'elle fonctionne à basse température.
Condensation de l'eau produite par une pile à combustible sur les parois des canaux d'alimentation en gaz. Le fil d'or à la périphérie de la cellule assure la collecte du courant (en savoir plus).
  • Les réactions sont rendues possibles par la présence d'un catalyseur de dissociation de la molécule d'hydrogène qui peut être une fine couche de platine divisé sur un support poreux qui constitue l'électrode à dihydrogène.

Pile à combustible au méthanol

Il existe deux types de piles à combustible au méthanol :

  • Les piles RMFC (Reformed Methanol Fuel Cell) : dans ces piles, le méthanol est reformé pour produire l'hydrogène qui alimentera la pile.
  • Les piles DMFC (Direct Methanol Fuel Cell) : dans ces piles, le méthanol est directement oxydé dans le cœur de la pile et ne nécessite pas d'être reformé.

Contrairement aux piles utilisant l'hydrogène, celles-ci ne sont pas "propres" car elles rejettent du CO2 et même du monoxyde de carbone (CO).

Tableau récapitulatif des différentes techniques de piles à combustible

Description Électrolyte Ions mis en œuvre Gaz/liquide à l'anode Gaz à la cathode Puissance Température de fonctionnement Rendement électrique Maturité Domaine
AFC – Pile à combustible alcaline Hydroxyde de potassium OH dihydrogène dioxygène 10 à 100 kW 60 °C à 90 °C Stack : 60-70 % Système : 62 % Commercialisé/ Développement Portable, transport
DBFC – Pile à combustible à hydrure de bore direct Membrane protonique

Membrane anionique

H+

OH

NaBH4 liquide oxygène 250mW/cm² 20 °C à 80 °C 50% monocellule Développement portable <20W
PEMFC – Pile à combustible à membrane d'échange de protons Membrane polymère H+ dihydrogène dioxygène 0,1 à 500 kW 60 °C à 100 °C Stack : 50-70 % Système : 30–50 % Commercialisé/ Développement portable, transport, stationnaire
DMFC – Pile à combustible à méthanol direct Membrane polymère H+ méthanol dioxygène mW à 100 kW 90 °C à 120 °C Stack : 20–30 % Commercialisé/ Développement transport, stationnaire
DEFC – Pile à combustible à éthanol direct 90 °C à 120 °C Développement
FAFC – Pile à combustible à acide formique 90 °C à 120 °C Développement
PAFC – Pile à combustible à acide phosphorique Acide phosphorique H+ dihydrogène dioxygène jusqu'à 10 MW environ 200 °C Stack : 55 % Système : 40 % Développement transport, stationnaire
MCFC – Pile à combustible à carbonate fondu Carbonate de métaux alcalins CO32– dihydrogène, Méthane, Gaz de synthèse dioxygène jusqu'à 100 MW environ 650 °C Stack : 55 % Système : 47 % Développement/ Mise sur le marché stationnaire
PCFC – Pile à combustible à céramique protonante 700 °C Développement
SOFC – Pile à combustible à oxyde solide Céramique O2– dihydrogène, Méthane, Gaz de synthèse dioxygène jusqu'à 100 MW 800 °C à 1 050 °C Stack : 60–65 % Système : 55–60 % Développement stationnaire

Applications et perspectives

Grâce aux progrès incessants de ces techniques, dont les premiers développements dans le domaine spatial remontent aux années 1960, et à la baisse des prix, son utilisation croît dans de nouveaux domaines. Notamment pour alimenter des prototypes d'ordinateurs portables, de téléphones portables ou d'appareils photo ou encore de véhicules propres.

Cependant, la viabilité industrielle à grande échelle de tels systèmes se heurte au faible rendement énergétique global de l'ensemble des opérations. En effet, chaque étape (synthèse de l'hydrogène, séchage du gaz, stockage, vaporisation, rendement des réactions électrochimiques de la pile, circulation des fluides, régulation thermique, maintenance, récupération du platine, etc.) réduit un rendement global encore très décevant. En 2009, des chercheurs japonais ont réussi à maintenir un rendement de 56% plusieurs centaines d'heures avec une pile de 3 kW[2]. Dans le cadre du projet HiPer-FC (High Performance Fuel Cell) lancé par la NEDO en 2008, un Centre de Recherche sur les Nanomatériaux pour les Piles à Combustible travaille depuis le 25 août 2009[3]. Les chercheurs (en 2009) y sont japonais mais aussi nord-américains, allemands, français, coréens et chinois.

D'autres voies de stockage et de transport du dihydrogène sont envisagées pour réduire les pertes, dont le conditionnement solide et stable du dihydrogène sous forme de pastilles aminées.

L'utilisation de la pile à combustible en cogénération, permettant de valoriser la production thermique de la pile, est considérée d'un point de vue environnemental (bruit, rejets) et technique comme avantageuse (si le dihydrogène est produit de manière propre et sûre) mais demeure encore trop chère pour une utilisation courante.

Programmes de recherche ou de développement

Par zones géographiques

Les États-Unis développent de nombreux projets soutenus par le gouvernement, parfois présentés comme une des solutions majeures contre le réchauffement climatique.

Au Canada, l'Institut d'Innovation en Piles à Combustible du Conseil National de Recherches du Canada (IIPC-CNRC), a été créé en septembre 2006 sur 6 500 m², en Colombie britannique (UBC), dans la grappe technologique de la région de Vancouver, pilote dans ce domaine.
Il vise à développer l'industrie de l'hydrogène et des piles à combustible au Canada. C’est une plate-forme de démonstration autant que de recherche, qui abrite aussi le Programme de Vancouver sur les véhicules à piles à combustible, ainsi que le projet d’autoroute de l'hydrogène de la Colombie britannique, épaulés par des labos consacrés à l'alimentation en hydrogène et aux techniques de piles à combustible intégrées. Le site dispose de pompes géothermiques et de moyens photovoltaïques de production d'hydrogène.

L'Europe s'est dotée en 2008 d'un cadre (règlement européen) pour le développement des véhicules à hydrogène (comme combustible), mais soutient aussi des projets de recherche sur les piles à hydrogène

En France, l’ADEME, EDF et le CEA ont installé un réseau "PILE A COMBUSTIBLE" le 25 juin 1999 piloté par Catherine Ronge, directrice R&D d'Air liquide et Roger Ballay, directeur adjoint de la recherche à EDF, co-animé par l'ADEME et le Commissariat à l'Energie Atomique (CEA). Ce réseau avait pour missions d’accélérer les recherches sur la pile à combustible en identifiant les verrous technologiques, d'animer la communauté scientifique autour d’un pôle d'expertise susceptible de valoriser et diffuser les avancées de la recherche, de développer les partenariats public-privé et une réflexion prospective sur le développement de ces techniques.

Depuis 2005, en France, le réseau PACo a été remplacé par le programme PANH (Plan d'action sur l'hydrogène et les piles à combustible) de l'ANR (Agence nationale de la recherche)

Dans le nord de la France, le laboratoire de nanotechnologies de l'Institut d'électronique de microélectronique et de nanotechnologie réalise en mai 2009 la plus performante et la plus petite pile à combustible du monde, de la taille de l'ongle d'un nourrisson[4].

Automobile

  • BMW Hydrogen 7
  • N'utilise pas de pile à combustible. Il s'agit d'un moteur à combustion classique utilisant de l'hydrogène comme combustible.
  • NECAR
  • Toute une famille de véhicules avec différents types de combustible (hydrogène gazeux, méthanol,...). A ce jour (2007) Daimler a construit le plus grand nombre de véhicules utilisant une pile à combustible (plus de 100). Mercedes a d'ailleurs annoncé la production en série pour le grand public de la classe B Hydrogène en 2010.
  • Focus FCV
  • Sequel voiture. La pile à hydrogène de 73 kW est alimentée par trois bouteilles à gaz bobinées composite de dihydrogène de 700 bars (2005).
  • Chevy Volt: concept présenté en janvier 2007 au salon automobile de Detroit (États-Unis).
  • Hydrogen 4 présenté le 6 mars 2008 au 78ème Salon International de l’Automobile de Genève (Suisse). La pile à combustible du GM HydroGen4 se compose de 440 cellules connectées en série. L’ensemble du système offre une puissance électrique atteignant 93 kW. Alimentant un moteur électrique synchrone de 73 kW/100 ch, il permet à l’HydroGen4 de franchir le zéro à 100 km/h en 12 secondes environ. Le HydroGen4 dispose d’un système de stockage comprenant trois réservoirs à haute pression de 700 bars réalisés en fibre de carbone, pouvant contenir 4,2 kg d'hydrogène. Ce qui permet une autonomie atteignant 320 kilomètres[5].
  • Honda FCX Clarity : première voiture de série, commercialisé (en location) au Japon et aux Etats Unies (Etat de Californie). Véhicule 5 places, équipé d'un réservoir d'une pression de 350 bars.
  • Honda CR-X
  • Tucson FCEV : voiture hybride. La pile à hydrogène de 80 kW est alimentée par une bouteille à gaz bobinée composite.
  • prototype de voiture Hy-light fonctionnant avec une pile à hydrogène (présentation en mars 2005). La pile est alimentée par du dihydrogène provenant de trois bouteilles haute pression bobinées composite.
  • prototype de voiture Hy-light 2 fonctionnant avec une pile à combustible fabriqué par Michelin même. Elle a été présentée en septembre 2007. Par rapport à la hy-light, la 2ème génération possède des batteries et plus des supercapacités.
  • Projet GENEPAC (2002-2006) mené en collaboration avec le CEA. Pile hydrogène de type PEMFC de 80 kW.
  • Le modèle expérimental 207 CC
  • en 2008 présentation du prototypes renault scénic ZEV H2 a pile à combustible [6]
  • Suzuki (en collaboration avec General Motors) :
  • Prototype de voiture Mr Wagon FCW'. La pile à hydrogène est alimentée par du dihydrogène contenu dans des réservoirs à 700 bars.
  • Voiture cinq places FCHV-4 et bus FCHV-US1. Ces programmes ont été présentés pour la première fois en 2001. Ils comportent une pile à hydrogène de 90 kW.
  • Prévu pour 2015, Toyota annonce (juin 2009) le développement de voitures électriques entièrement fondées sur les piles à combustions en vente (contrairement à aujourd'hui où les voitures électriques sont en lease). [7]

Autres domaines

  • Production électrique stationnaire
    • produits de la société américaine Fuel Cell Energy
    • Axane (Air liquide) : Evopac, système d'alimentation autonome alimenté par du dihydrogène.
  • Système de refroidissement par évaporation inspiré des plantes vertes pour les piles à combustible des ordinateurs portables de demain.

Références


Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • Benjamin Blunier et Abdellatif Miraoui, 20 Questions sur la pile à combustible, Editions TECHNIP, 2009, 130 p. (ISBN 978-2710809241)
  • Benjamin Blunier et Abdellatif Miraoui, Piles à combustible, Principes, modélisation, applications avec exercices et problèmes corrigés, Ellipses, Technosup, 2007, 192 p. (ISBN 978-2-7298-3107-3).
  • Méziane Boudellal, "La pile à combustible", Dunod, Technique et ingénierie, 2007, 304p. (ISBN 978-2-1005-0112-0)


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