Armée des Etats-Unis

Armée des Etats-Unis

Forces armées des États-Unis

Forces armées des États-Unis
United States Armed Forces
United States Department of Defense Seal.svg
Sceau du Département de la Défense des États-Unis
Fondation 14 juin 1775
Branches l'US Army
l'US Navy
l'US Air Force
l'US Marine Corps
l'US Coast Guard
Quartier-général Pentagone
Commandement
Président des États-Unis Barack Obama
Secrétaire à la Défense des États-Unis Robert Gates
Chef d'état-major des armées des États-Unis Amiral Michael Mullen
Main d'œuvre
Âges militaires 17 - 45
Actifs 1 454 515 (hors gardes côtes au 31 mars 2009) [1] (2e)
Déployés hors du pays 283 589 (31 décembre 2008)
Réservistes 848 000
Budgets
Budget 583 milliards de dollars US (année fiscale 2007)[2]
Pourcentage du PNB 4,4 (2007)
Industrie
Fournisseurs nationaux Complexe militaro-industriel des États-Unis d'Amérique
Importations annuelles 2,33 % du marché mondial en 2007 (10e rang) [3]
Exportations annuelles 30,93 % du marché mondial en 2007 (1er rang)
Articles annexes
Histoire Histoire militaire des États-Unis d'Amérique
Grades Grades des forces armées des États-Unis
Décorations militaires des États-Unis


Les forces armées des États-Unis (United States Armed Forces), souvent appelées armée américaine (US military) dans le langage courant, est une armée entretenue par les États-Unis. Au 31 décembre 2008, elle compte 1 402 227 militaires actifs[4], il s'agit en effectifs de la deuxième ou troisième armée mondiale, derrière l'Armée populaire de libération chinoise et pratiquement à égalité avec les forces armées indiennes. En termes de budget (environ 651 milliards de dollars américains prévus pour 2009 [5] soit 45 % du budget officiel de la défense dans le monde [6]), de force de frappe et de capacité de déploiement, il s'agit de la première armée mondiale.

Une partie relativement importante de l'armée américaine est déployée hors du territoire national[7]. Elle joue un rôle considérable dans la politique étrangère du pays[8].

L'armée américaine comprend cinq composantes. Il s'agit, par nombre décroissant de soldats actifs, de :

  1. United States Department of the Army Seal.svg l'US Army (l'armée de terre) ;
  2. United States Department of the Navy Seal.svg l'US Navy (la marine militaire) ;
  3. Seal of the US Air Force.svg l'US Air Force (l'armée de l'air) ;
  4. USMC logo.svg l'US Marine Corps (troupes de Marine essentiellement d'infanterie mais ayant aussi des marins et des aviateurs, dépendant du Département de la Marine des États-Unis) ;
  5. USCG S W.svg l'US Coast Guard (les garde-côtes dépendent du Département de la Sécurité intérieure en temps de paix).

Sommaire

Une armée au service de la première puissance du monde

Les effectifs militaires américains dans le monde
Les pays de l'OTAN

La puissance militaire s'explique aussi par l’avance technologique des États-Unis : ils sont le premier pays à avoir eu la bombe atomique ; dans les années 1970, les recherches amènent la production d'engins furtifs. Les satellites sont utilisés pour guider les missiles. Le bouclier antimissile est en fonction depuis novembre 2004. L'internet et le GPS sont des innovations américaines qui ont d'abord servi à des fins militaires[9]. La domination militaire américaine découle aussi de la faiblesse des autres pays : la puissance russe a décliné depuis la disparition de l'URSS et du pacte de Varsovie. L'Union européenne n'a pas de véritable armée ni de politique étrangère commune. De fait, le complexe militaro-industriel est important aux États-Unis : le pays est le deuxième exportateur mondial (5,4 milliards de dollars) derrière la Russie et le septième par habitant[10].

La présence de l'armée américaine est mondiale : elle possède des bases militaires sur tous les continents bien que nombre d'entre elles ont été fermées dans le cadre des Base Realignment and Closure depuis 1989, essentiellement en Europe de l'Ouest. La plupart des effectifs américains à l'étranger sont actuellement dans les pays où les États-Unis sont en guerre (Irak, Afghanistan), dans les anciens pays de l’Axe (Allemagne, Japon, Corée du Sud[11], Italie) et dans les régions stratégiques (Djibouti depuis 2002 [12], Golfe Persique). Tous les océans sont quadrillés par des flottes permanentes. Les États-Unis sont actuellement le seul pays du monde à pouvoir intervenir partout rapidement.

Depuis la fin de la guerre froide, les interventions armées américaines se sont multipliées, soit avec l'aval de l'ONU, soit sans (Irak). La politique étrangère dépend du président qui est le chef des Armées, qui négocie les traités et dispose du feu nucléaire ; mais elle est également tributaire du Congrès qui décide de la guerre et entérine les traités internationaux. Durant le XXe siècle, les États-Unis ont connu des phases isolationnistes et sont entrés en guerre pour réagir à des attaques. Avec la guerre froide, ils se sont posés en défenseurs du monde libre et démocratique contre le bloc soviétique et ont mis en place un réseau d'alliance dont la pièce maîtresse est l'OTAN. Aujourd'hui, certaines de ces alliances existent toujours et l'OTAN se renforce avec l'entrée des pays de l'est de l'Europe et le retour de la France dans le commandement intégré. Les États-Unis garantissent aussi leur aide militaire à de nombreux pays.

Pourtant, la puissance militaire des États-Unis n'est pas sans faiblesse : face au terrorisme, les stratégies conventionnelles semblent inefficaces, comme le montrent les progrès des Taliban en Afghanistan et au Pakistan. Washington a besoin de ses alliés pour mener des expéditions[13]. Des oppositions se sont développées contre la politique étrangère de George W. Bush, y compris aux États-Unis, et des alliances concurrentes se mettent en place comme l'Organisation de coopération de Shanghai. En 2009, le président Barack Obama a confirmé le retrait des troupes américaines d'Irak pour en redéployer en Afghanistan.

Commandement

Le déploiement des forces armées des États-Unis dans des bases militaires du monde selon le schéma mouvant des sphères d'influence est perceptible au travers de la répartition géographique du commandement Interarmées de Combat. Cette présence globale permettant la projection de la puissance armée, sous la forme la plus adaptée à l'action requise par la géostratégie et la tactique, fournit la base arrière des interventions militaires depuis 1947.

Commandant en chef

La Constitution des États-Unis d'Amérique, Article II Section 2[14], donne le titre de Commandant en chef au président des États-Unis, qui « sera commandant en chef de l'armée et de la marine des États-Unis, et de la milice des divers États quand celle-ci sera appelée au service actif des États-Unis. »

Autorité du Commandant en chef sur le champ de bataille

En tant que Commandant en chef, le président des États-Unis a la prééminence sur tout officier de l'armée et donc le droit inhérent d'assumer le commandement sur le champ de bataille. Cependant, parce que les présidents sont rarement présents sur les zones de guerre et ont souvent moins d'expérience que les commandants militaires, seuls deux présidents firent usage de cette prérogative, George Washington et James Madison.

Washington mena en personne une troupe de 70 000 hommes lors de la révolte du Whisky, pendant son second mandat. Il ne fut cependant pas présent lors des diverses escarmouches de ce conflit relativement peu sanglant.

Lors de la Guerre de 1812, Madison se retrouva sous le feu de l'ennemi le 24 août 1814, lorsque les forces américaines furent mises en déroute par les troupes britanniques à Bladensburg (Maryland). Exaspéré par l'incompétence du général américain, il prit le commandement des seules forces américaines restantes, une batterie navale commandée par le Commodore Joshua Barney. Il fit cela pour stopper l'invasion britannique de la capitale américaine, mais ses efforts furent vains et les Britanniques incendièrent Washington pendant deux jours.

Pendant la Guerre de Sécession, Abraham Lincoln considéra la possibilité d'assumer lui-même le commandement de l'Armée de l'Union sur le champ de bataille et se mit à étudier des textes militaires car l'apathie et l'incompétence de ses généraux l'exaspéraient. Il se retrouva sous le feu ennemi en 1864 lors d'une attaque confédérée sur Fort Stevens dans le District de Columbia, mais il n'exerça à aucun moment son autorité de commandant en chef sur le champ de bataille.

Commandement effectif

Le Pentagone, quartier général et siège du ministère de la Défense des États-Unis

La direction des forces armées des États-Unis est assurée par le comité des chefs d'état-major (Joint Chiefs of Staff) qui comprend :

Ce comité dépend directement du Secrétaire à la Défense, ministre en charge du Département de la Défense qui, lui, répond directement devant le président des États-Unis.

Le Goldwater-Nichols Act de 1986 a complètement réorganisé la structure de commandement des forces armées américaines qui repose actuellement sur dix Unified Combattant Command qui couvre chacun une zone géographique du monde.

Contrôle parlementaire

Le Comité des forces armées du Sénat des États-Unis est l'organe de contrôle du Sénat américain sur les forces armées, les programmes de recherche et développement militaires et l'énergie nucléaire au service de la sécurité nationale.

Effectifs globaux

Soldats américains en Irak.

Les États-Unis se classent deuxième derrière la Chine pour le nombre de soldats actifs (1,4 million)[15], mais 57e si l'on ramène ce nombre à la population totale (6 soldats pour mille habitants[16]). Il faut rajouter les forces de réserve, qui totalisent 1,2 million d'hommes et de femmes prêts au combat (Garde nationale, armée de réserve et garde côtière).

Les effectifs militaires ont énormément fluctué dans l'Histoire. Historiquement faible en temps de paix, elle a atteint un maximum de 16 millions de militaires américains à fin de la Seconde Guerre mondiale [17]; après avoir démobilisé, elle remonta suite à la guerre de Corée à 3 555 000 en 1953, baissa à 2 483 000 en 1961, et remonta sous l'impulsion de Robert McNamara à 2 808 000 au 30 juin 1962. Au début de l'engagement massif dans la guerre du Viet-Nam en 1965, 2 700 000 était sous les drapeaux et le pic durant cette période fut de 3 550 000 militaires mi-1968 [18].

Depuis l'abandon de la conscription en 1973, les forces armées des États-Unis ont été réduites de près de 60%. Dans les années 1980, ses effectifs étaient de 2 millions de personnels contre 1,4 dans les années 2000 [19].

La conscription en temps de paix fut établie aux États-Unis en septembre 1940, et ses conditions furent élargies par une loi établissant un service national le 13 décembre 1941, six jours après l’attaque japonaise sur Pearl Harbor. La conscription cessa en 1947, mais le service sélectif se poursuivit dans les années 1950, en raison de l’engagement dans la guerre de Corée. Les lois sur le service militaire continuèrent à être appliquées, bien que subissant de fréquents amendements, et fournirent des contingents pour la guerre du Viêt Nam. En 1969, un système de loterie fut institué pour sélectionner les conscrits. En 1973, l’intégration aux forces armées américaines fonctionna exclusivement sur la base du volontariat ; depuis 1980, les hommes doivent se faire recenser auprès des autorités dans les trente jours suivant leur dix-huitième anniversaire.

De 65 à 75 % des effectifs peuvent être déployés hors du territoire métropolitain (contre 10 à 15 % des forces européennes).

Voici quelques chiffres sur les engagés au sein des forces armées des États-Unis à la mi-2004 :

Service/Arme Personnel
actif
Taux de
féminisation

[note 1]
Hommes
du rang
Officiers
US Army 500 203 15,2 414 325 69 307
US Marine Corps 176 202 6,0 157 150 19 052
United States Navy 375 521 14,5 319 929 55 592
United States Air Force 358 612 19,6 285 520 73 091
US Coast Guard 40 151 10,7 31 286 7 835
Total 1 450 689 14,9 1 196 210 254 479
  1. Il s'agit du pourcentage des postes occupés par une femme.

Un étranger ayant la carte de résident permanent aux États-Unis (green card) peut s'engager dans les forces armées en tant que simple soldat; il peut recevoir la nationalité américaine durant son séjour sous les drapeaux. Les officiers doivent, eux, déjà avoir la nationalité américaine.

En 2005, environ 31 000 militaires actifs n'étaient pas citoyens américains.

Service/Arme Non-américains  % de l'effectif
US Navy 15 880 4,2
US Marine Corps 6 440 3,8
US Army 5 596 1,2
US Air Force 3 056 0,8

Depuis la fin de la Guerre froide, il y a une diminution sensible des installations militaires, tant sur le territoire métropolitain qu'outre-mer (hors zones de conflits) dans le cadre du Base Realignment and Closure mais les États-Unis restent le seul état ayant une capacité de déploiement planétaire de grande envergure avec des bases sur tous les continents.

Durant l'année fiscale 2007, les différentes armes ont recruté[20] :

Service/Arme Recrues
US Army 80 407
US Air Force 27 801
US Navy 37 361
US Marine Corps 35 603

Armement nucléaire

Article détaillé : Armes nucléaires des États-Unis.
Malgré leurs accords de non-prolifération, le stock d'armement nucléaire des deux grands est resté très important.
Le USS Wyoming (SSBN-742) en surface. Il s'agit de l'un des 14 SNLE de classe Ohio en service en 2009. Ces boomers [21] peuvent emporter jusqu'à 24 missiles Trident II emportant eux-memes 8 MIRV soit 192 ogives par bateau. Ils sont les principaux vecteurs d'armes nucléaires des États-Unis devant les ICBM et les bombardiers stratégiques.

Les forces armées des États-Unis ont été les premières à obtenir l'arme nucléaire en 1945. Utilisé lors des bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki pour en terminer avec la seconde guerre mondiale, l'apparition de la guerre froide à fait construire de grands stocks d'ogives et de multiples vecteurs conduisant à l'équilibre de la terreur avec l'URSS.

On compta un maximum de 32 000 armes en 1966 dans l'arsenal américain et constituant toujours un élément central de la stratégie américains de dissuasion, leur importance et leur nombre ont décru avec la fin de la guerre froide et depuis le milieu des années 1970, l'armée soviétique, puis son successeur, les forces armées de la fédération de Russie dépasse le mégatonnage américain mais reste inférieure au niveau de la précision de ces armes.

Les armes nucléaires sont depuis 1992 sous le contrôle du United States Strategic Command.

Le Single Integrated Operational Plan conçue dans les années 1960 est la planification stratégique en cas de guerre nucléaire.

Le traité de réduction des arsenaux nucléaires stratégiques visent à terme la réduction de l'arsenal à limite maximale de 2 200 armes opérationnelles en 2012.

Budget

Les États-Unis représentent, en 2008, 41,5% des dépenses militaires mondiales [22]. , soit 613 milliards de dollars en 2007, dont une partie sont absorbée dans les guerres d'Irak et d'Afghanistan[23]. Cependant, les dépenses militaires (équipement, personnel et frais de gestion) ne représentent que 21 % du budget du gouvernement fédéral en 2008 soit un total de 2 979 milliards de dollars [24] et environ 4 % du PIB américain[25],[26], ce qui classe le pays en 26e position mondiale[27]. Le budget de la défense des États-Unis en temps de paix fut jusqu'à la fin des années 1940 relativement faible, voire insignifiant par rapport à d'autres grandes nations ; il fallut la Guerre froide pour que celui-ci devienne de loin le premier au monde. Après une baisse dans les années 1990, la guerre contre le terrorisme et le renouvellement d'une partie du matériel hérité de la guerre froide a fait augmenté le budget de 66,5 % entre 1999 et 2008.

Ce budget représenta en 2004 plus de 45 % des dépenses militaires mondiales  :

Répartition des dépenses en 2004
Division Montant
(milliards USD)
Opérations et maintenance 174,081
Personnel militaire 113,576
Appro­vision­nement 76,217
Recherche et développement 60,756
Construction militaire 6,310
Total 437,111

La répartition entre les armes se fait approximativement ainsi : 35 % pour la Navy (incluant 4 % pour les Marines), 35 % pour l'Air Force et 30 % pour l'Army.

Grades d'officiers

Voici les divers grades d'officiers actuellement en fonction :


Flag of the United States
Grades d’officier des armées des États-Unis
  Élève-officier O-1 O-2 O-3 O-4 O-5 O-6 O-7 O-8 O-9 O-10 O-11 (en temps de guerre) Grades spéciaux
United States Navy: Midshipman ENS LTJG LT LCDR CDR CAPT RDML RADM VADM ADM Fleet Admiral
FADM
Admiral of
the Navy
US Marine Corps: Midn 2ndLt 1stLt Capt Maj LtCol Col BGen MajGen LtGen Gen (pas d'équivalent) (pas d'équivalent)
US Army: CDT 2LT 1LT CPT MAJ LTC COL BG MG LTG GEN General of
the Army
General of the Armies
US Air Force: Cadet 2nd Lt 1st Lt Capt Maj Lt Col Col Brig Gen Maj Gen Lt Gen Gen the Air Force (pas d'équivalent)
United States Coast Guard: CDT ENS LTJG LT LCDR CDR CAPT RDML RADM VADM ADM (pas d'équivalent) (pas d'équivalent)


Traditions

Le jour des forces armées est célébré le troisième samedi du mois de mai.

Divers

Bibliographie

  • Lucien Mandeville, Morris Janowitz, Le Système militaire des États-Unis, 1976, (ISBN 2711300013)
  • Philippe Richardot, Les États-Unis : Hyperpuissance militaire, Economica, Paris, mai 2002, (ISBN 2717844511)
  • Vincent Desportes, L'Amérique en armes : Anatomie d'une puissance militaire , Economica, Paris, mai 2002, (ISBN 2717844341)
  • Jeremy Shapiro et Lynn E. Davis (éditeurs), The U.S. Army and the New National Security Strategy, RAND Corporation, août 2003, (ISBN 0833033476)

Références

  1. Military Personnel Statistics
  2. http://www.gpoaccess.gov/usbudget/fy08/pdf/budget/defense.pdf
  3. Stockholm International Peace Research Institute
  4. (en) ACTIVE DUTY MILITARY PERSONNEL STRENGTHS BY REGIONAL AREA AND BY COUNTRY (309A) DECEMBER 31, 2008, Département de la Défense des États-Unis. Les gardes-côtes sont exclus du décompte.
  5. (en)[pdf]Budget 2009
  6. (en) Personnel de rédaction, « The world's biggest military spenders », dans The Economist, 18 mars 2009 [texte intégral (page consultée le 19 mars 2009)] 
  7. (en) 280 000 soldats actifs fin 2006 et 100 000 undistributed, Département de la Défense des États-Unis.
  8. Noam Chomsky, De la guerre comme politique étrangère des Etats-Unis, ISBN : 2-7489-0037-5
  9. Pascal Boniface, Charlotte Lepri, 50 idées reçues sur les États-Unis, Hachette Littératures, 2008 (ISBN 978-2-0123-7638-0) , p.92
  10. (en)Conventional arms exports (most recent) by country
  11. Colonie japonaise depuis 1905, la guerre de Corée fait intervenir les États-Unis qui disposent depuis de forces permanentes face à la Corée du Nord
  12. (fr) Le départ des Forces françaises à Djibouti est déjà programmé, 17/06/2008
  13. André Kaspi, Les États-Unis. Mal connus, mal aimés, mal compris, Plon (coll. Tribune libre), Paris, 1999 (1°éd. ), 289 p. (ISBN 2259189032)  p.199
  14. Constitution des États-Unis d'Amérique Article II Section 2 :
    The President shall be Commander in Chief of the Army and Navy of the United States, and of the Militia of the several States, when called into the actual Service of the United States;...
  15. (en)Military Capabilities > Active Troops (most recent) by country, Nation Master, consulté le 25-04-2009
  16. [Armed forces personnel (per capita) (most recent) by country, http://www.nationmaster.com/graph/mil_arm_for_per_percap-armed-forces-personnel-per-capita]Nation Master, consulté le 25-04-2009
  17. (en) Armed Forces: 1939-1945
  18. Robert S. McNamara January 21, 1961 - February 29, 1968 8th Secretary of Defense Kennedy and Johnson Administration sur http://www.defenselink.mil, Département de la Défense des États-Unis. Consulté le 11 juillet 2009
  19. (fr) George Bush veut renforcer l'armée américaine, Le Figaro
  20. Défense et Sécurité internationale n° 31, novembre 2007
  21. Surnom donné aux SNLE dans les marines du Monde anglo-saxon
  22. « + 44,7 % depuis 1999 », dans Défense et Sécurité internationale, no 50, juillet - août 2009, p. 10 
  23. Pascal Boniface, Charlotte Lepri, 50 idées reçues sur les États-Unis, Hachette Littératures, 2008 (ISBN 978-2-0123-7638-0) , p.86
  24. (en) Congressional Budget Office
  25. CIA World Fact book 2008, consulté le 25-04-2009
  26. Pascal Boniface, Charlotte Lepri, 50 idées reçues sur les États-Unis, Hachette Littératures, 2008 (ISBN 978-2-0123-7638-0) , p.91
  27. Expenditures (most recent) by country, Nation Master, consulté le 25-04-2009

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

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