Pierre-Jean Garat

Pierre-Jean Garat
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Pierre-Jean Garat
Pierre-Jean Garat.jpg
Naissance 26 avril 1762
Ustaritz (?), Royaume de France Royaume de France
Décès 1er mars 1823 (à 60 ans)
Paris, Flag of the Kingdom of France (1814-1830).svg Royaume de France
Activité principale Artiste lyrique
Activités annexes concerts et composition de romances
Lieux d'activité Paris
Ascendants Dominique Garat
Famille Joseph Dominique Fabry-Garat (frère)
Jacques Joseph Garat (frère)
Dominique Joseph Garat (oncle)

Pierre-Jean Garat, né le 26 avril 1762[1], et mort le 1er mars 1823 à Paris, était un musicien et chanteur baryton (ténorisant) français. Des témoins assurent qu’il pouvait chanter en voix de basse-taille toute en ayant une tessiture de haute-contre, probablement en voix de fausset ; sa flexibilité devait donc être surprenante, à l’instar de son confrère Martin.

Sommaire

Biographie

Aîné d’une fratrie de cinq enfants, bercé selon la tradition par une nourrice ou une mère au chant merveilleux, négligeant les études de droit à Bordeaux voulues par son père Dominique Garat-Ainé, natif d’Ustaritz et avocat au Parlement de Bordeaux, il se consacre très jeune à la musique. Il excelle d’abord à chanter les airs de son pays. Doué d’une voix exceptionnelle, d’une pureté inouïe, d’une musicalité innée, d’une oreille sans faille, d’une incroyable mémoire — il peut répéter un opéra quasi entier, entendu une seule fois — il chante avec une facilité déconcertante et un instinct infaillible. C’est pourtant toutes ces qualités que lui attribuent ses contemporains. Fétis le présente même comme « le chanteur le plus étonnant qu’ait eu la France ». Garat, de son côté, se déclarait volontiers ignorant de la science musicale, bien qu’il ait appris un temps la vocalisation auprès d’un Italien, un certain Lamberti, qui habitait à Bayonne et l’harmonie auprès du directeur du grand Théâtre de Bordeaux, François Beck. Ce dernier personnage, qui fit beaucoup pour la culture musicale de la ville, fut un directeur décisif pour le jeune élève qui lui dut « ce qu’il savait en musique et la direction donnée à son talent[2] ». Le chant de son époque était fondé sur une mélodie simple que l’interprète devait embellir selon son goût et ses possibilités. C’est dans cet art que Garat fut éblouissant et inégalable.

En 1782, ayant complètement délaissé le droit contre les volontés paternelles, il est à Paris sans subsides, mais, pendant tout son séjour parisien, il sera soutenu de son oncle Joseph politiquement en place. Introduit bientôt dans les salons et ayant rapidement acquis quelque notoriété en chantant avec deux cantatrices reconnues, mesdames Saint-Huberti et Todi, il fut présenté à la Marie-Antoinette qui raffolait du beau chant. Il séduisit l’assistance et gagna le soutien du comte d’Artois. Certains auteurs rapportent que Antonio Sacchini qui l’avait accompagné au clavecin, aurait déclaré que « Garat est la musique même[3] ». Pour l’encourager, le comte lui donna un emploi de secrétaire et la reine qui sera amenée par deux fois à payer ses dettes, une pension de six mille livres. Garat fut appelé régulièrement à chanter devant cette dernière, et il conserva toujours de ces exhibitions un souvenir vivace. Il a été dit qu’il donnait des cours de chant à la reine mais Madame Campan, dans ses mémoires, n’est pas de cet avis et rapporte la prudence constante de la souveraine en proie aux médisances, et son grand regret : « Je devais entendre chanter Garat, et ne jamais chanter de duo avec lui ». Il revint un jour dans son pays natal où un concert y avait été organisé au profit de François Beck, son ancien maître, alors sans plus beaucoup de ressources. À cette occasion, après une prestation mémorable et de haute volée, Pierre-Jean put enfin se réconcilier avec son père qui avait jusque là résisté même aux instances du Comte d’Artois.

En 1783, il est membre de la loge maçonnique des Neuf Sœurs, et de la Société Olympique en 1786[4]. Il composera, après la journée du 6 octobre 1789 pendant laquelle fut malmenée Marie-Antoinette, la romance Vous qui portez un cœur sensible. Beaucoup d’artistes qui avaient connu ces cénacles de culture raffinée deviendront nostalgiques et se joindront aux rangs des réactionnaires, appelés « Muscadins », tout comme ses collègues et amis, Jean Elleviou et Jean-Blaise Martin.

Avant les événements de 1789, il chanta régulièrement en simple amateur et essentiellement dans les salons. Durant le tumulte révolutionnaire, il préféra changer d’air et on le retrouve à Rouen en compagnie du violoniste Pierre Rode du Concert spirituel, lui aussi ancien élève de Beck, avec tous deux le projet en tête de se réfugier en Angleterre. Les deux compères séjourneront environ huit mois dans cette ville et on compte dix-sept concerts à leur bénéfice[5]. C’est sans doute lors de ces tours de chant qu’il se fit inquiéter comme « royaliste ». La légende veut que ce soit pour avoir chanté la Romance de la reine qu’il fut quelque temps emprisonné à Rouen. Il faut tenir compte que ces deux Parisiens fraîchement débarqués avaient inévitablement éveillé la méfiance, puis la suspicion des autorités. Dans sa prison, fidèle à sa protectrice, il écrira une autre romance : Vous qui savez ce qu’on endure.

Libéré mais sans argent et sans plus de protecteurs, il partit pour l’étranger pour oublier et se faire oublier, visita entre autres l’Espagne, l’Angleterre et l’Allemagne, des pays où il se fit connaître et obtint le même succès. Il ne revint que sous le Directoire, aux alentours de 1795. Contraint de gagner professionnellement sa vie, il enchaîne les concerts au Théâtre Feydeau et rue de Cléry. Il eut une vogue extraordinaire. Son oncle, nommé comte d’Empire et sénateur[6], lui fit accorder une pension pour que son neveu ne chantât plus en public comme un vulgaire histrion. Pierre-Jean chanta aux Tuileries devant l’empereur, et devant la reine Hortense qui l’entendit à plusieurs reprises. Sous le Consulat, il eut la faveur de Bonaparte qui aimait l’écouter. Et c’est malheureusement à la même soirée que fut représentée à l’Opéra La Création de Haydn, où Garat tenait le rôle de l’ange Gabriel, et qu’eut lieu l’attentat de la rue Saint-Nicaise.

Secrétaire du comte d'Artois, il sera nommé, en 1816, professeur de chant au Conservatoire de Paris où il perfectionna de nombreux chanteurs chevronnés : Nourrit, Ponchard, Roland, Despéramons, Levasseur, Mlle Chevalier et Mmes Duret, Boulanger, Cinti-Damporeau, Barbier Walbonne et Rigaud-Pallard… Fétis, qui tient constamment l’encensoir, écrit : « […] il a su mieux qu’un autre […] faire naître en eux le sentiment du beau et leur inspirer la confiance du talent […] Un professeur comme Garat est une espèce de miracle, un effort de la nature ».

Garat habillé en Incroyable

Exemple type de l’Incroyable et du muscadin, Garat affecta longtemps de ne pas prononcer les « R » quand il parlait, et il est vraisemblable qu’il créât cette mode car on parla alors de « garatisme ». Cependant, il observait la pureté de la prononciation française et la justesse des accents quand il chantait, « signes distinctifs de l’école formée par lui[7] ». Avide de se donner en spectacle, il fut la coqueluche de la jeunesse dorée qui copiait ses tenues vestimentaires extravagantes — cravate nouée obligatoirement à droite, bottes rouges pour femme, lorgnons, boucles dorées, etc. — et sa coiffure (cheveux ramenés en oreilles de chien). Il gardera toujours, même à un âge avancé, l’apparence d'un mirliflore, avec une attitude hautaine et maniérée. « Il eût été difficile de dire ce que Garat estimait le plus de son talent ou de son empire sur la mode[7] ». Cette attitude exhibitionniste et efféminée ne l’empêcha pas d’être très empressé auprès des femmes car il eut de nombreuses liaisons. Garat avait aussi la susceptibilité des grands artistes et Léon Techener en donne un exemple : « Garat, à une soirée chez Cambacérès, ayant été prié, après d'autres artistes, de bien vouloir chanter, fit sentir qu'on eût dû l'engager plus tôt. Il tira sa montre et, feignant d'y regarder l'heure, il dit que sa voix était couchée. » Mais le temps passe et les modes changent et, au soir de sa vie, la voix éteinte, artiste oublié et aigri de ne plus être remarqué, il s’exclamait : « Les misérables ! Autrefois, ils m’auraient suivi jusqu’au Bois de Boulogne ! ». Celui qui n’a jamais cessé de chanter et « finit par ne chanter que dans sa tête », mais qui, alors, comme lui-même il le disait : « n’aura jamais mieux chanté », s’éteignit à l’âge de soixante ans.

Édition de romances de Garat

Peu versé dans l’harmonie mais avec une certaine pratique du piano[8] qui lui permettait de déchiffrer les partitions, il limita ses compositions qu’on estime à une cinquantaine, aux romances, avec de belles réussites comme : Le Ménestrel exilé, Je t’aime tant (paroles de Fabre d'Églantine), Y sera-t-elle ?, Le Convoi du pauvre, Le Chant arabe, Le Premier Amour, Firmin et son chien (paroles de M. de Ségur), Pauvre Jacques, Le Chevrier, Il était là, Mlle Lafayette

Certaines de ses chansons à sujets trop allusifs le firent soupçonner, notamment à l'époque du procès du général Moreau, et il y perdit jusqu'à quatorze mois de son traitement de professeur, qui lui fut rendu en 1814 : Bélisaire (paroles de Lemercier), Henri IV à Gabrielle d'Estrées, Bayard

Le livret de la Fille du régiment (scène III de l'acte II) de Donizetti (1840) fait référence à une de ses compositions : « La Marquise : “Nous allons essayer cette romance nouvelle, d’un nommé Garat, un petit chanteur français.” » Mais il chanta beaucoup de partitions qui n’étaient pas les siennes. Il défendit les musiques de Gluck, de Boieldieu, de Pergolèse, de Haydn… Il admirait par-dessus tout Mozart dont il fut un interprète remarqué.

Il avait épousé sa maîtresse Mlle Duchamp, une jeune contralto qui avait été son élève et qui sera sa veuve. Il avait eu auparavant deux enfants naturels d'une liaison avec une comtesse provinciale venue à Paris, Adélaïde Noyel de Bellegarde (1772 - Les Marches (Savoie) † 7 janvier 1830 - Paris, inhumée au cimetière du Père-Lachaise (11e division)), dite « Adèle de Bellegarde », dame de Chenoise[9],[10], qui avait eu auparavant une liaison prolongée avec Marie-Jean Hérault de Séchelles. Il est enterré au Cimetière du Père-Lachaise, près de Méhul et Grétry[11].

« Nul ne saisit mieux toutes les intentions du compositeur et ne les rend avec plus d’expression[12] ».

Garat avait la typologie vocale des chanteurs renommés de son époque, qui correspondait à un style spécifique à la France et qu’on pourrait, selon l'expression de l'époque, appeler « voix concordante », c'est-à-dire voix de peu de volume mais d’une souplesse hors du commun qui s’adapte à presque toutes les tessitures : « …un résumé de toutes les voix, un composé de tous les registres[7] ». Non seulement il passait dans la même soirée, de la voix de basse à celle de soprano, de la voix de ténor à celle de haute-contre mais « de l’expression la plus pathétique à l’expression la plus légère, du style le plus simple à la broderie et à la roulade ».

Fétis dans ses Curiosités historiques de la musique disait de Garat : « Sa chaleur entraînante, son débit spirituel, sa prononciation parfaite, et sa richesse d’imagination dans les ornemen[t]s qu’il introduisait dans ses romances, leur donnaient un prix qu’elles n’avaient point quand elles étaient chantées par d’autres ». Appréciant la qualité de son chant, Castil-Blaze lui attribue l’honneur d’avoir fait connaître Mozart à la France. Il eut un art si parfait et une renommée si étendue qu’il peut être considéré comme un des plus grands chanteurs lyriques français. On le surnommait le « Protée musical » ou encore l’« Orphée moderne »[13].

Œuvres relatives au personnages de Garat

Sources et bibliographie

  • Antoine-Vincent Arnault, Biographie nouvelle des contemporains, 1787-1820, 1827.
  • François-Joseph Fétis, Biographie universelle des musiciens et biographie générale de la musique, tome 3, 1862.
  • Jean-Baptiste Labat, Études philosophiques et morales sur l'histoire de la musique, tome 2, 1852.
  • Juste-Adrien La Fage, Miscellanées musicales, 1844.
  • Pierre Louis Pascal de Jullian, Galerie historique des contemporaines, 1819 et 1823.
  • Léon Techener, Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire, 1874.
  • Henri Welschinger, Le théâtre de la Révolution, 1789-1799, 1880.
  • Joann Élart, « Circulation des quatre symphonies œuvre VII de Johann Franz Xaver Sterkel de l'Allemagne à Rouen : un itinéraire singulier du goût musical entre 1770 et 1825 », Studien zu den deutsch-französischen Musikbeziehungen im 18. und 19. Jahrhundert, bericht über die erste gemeinsame Jahrestagung der Gesellschaft für Musikforschung und der Société française de musicologie Saarbrücken 1999, Hildesheim, Georg Olms Verlag, 2002, p. 266-281.
  • Joann Élart, « La mobilité des musiciens et des répertoires : Punto, Garat et Rode aux concerts du Musée », Le Musée de Bordeaux et la musique 1783-1793, éd. Patrick Taïeb, Natalie Morel-Borotra et Jean Gribenski, Rouen, PURH, 2005, p. 157-173.
  • Joann Élart, « Les origines du concert public à Rouen à la fin de l'Ancien Régime », Revue de musicologie, no 93/1, 2007, p. 53-73.
  • Joann Élart et Patrick Taïeb, « La Complainte du Troubadour de Pierre-Jean Garat (1762-1823) », Les Orages, no 2, L'imaginaire du héros, Besançon, Apocope, mai 2003, p. 137-168.

Notes et références

  1. Plusieurs aspects de sa biographie sont confus. Garat est un patronyme fort répandu et également ses homonymes. Garat, qui cachait soigneusement son âge, ne parla que de ses origines basques. Le lieu de naissance serait Bordeaux si l’on se base sur un registre de baptême de l’église Saint-Nicolas. Si l’on suit la généalogie établie par la Banque de France, il serait né à Ustaritz comme son père et son cadet direct, Dominique, dit Fabry, qui fut le seul chanteur avec son frère aîné. Les trois derniers enfants sont nés à Bordeaux. Si le père a bien épousé une Bordelaise (il était avocat à Bordeaux), il aurait, selon la même généalogie, seulement convolé en 1769 (?). La ville d’Ustaritz est donnée comme ville natale, entre autres, par François-Joseph Fétis, Castil-Blaze (cité par le Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire de 1874), par Edmond Cardoze (Musique et musiciens en Aquitaine, 1992), par Jullian, dans sa Galerie historique des contemporains de 1823 (p. 74), par Jean-Marie Thiébaud et Gérard Tissot-Robbe (Elizabeth Le Michaud d’Arçon, maîtresse de Napoléon, 2002, p. 134, etc.
  2. Fétis, Biographie universelle des musiciens et de la musique, volume 3, 1862.
  3. Pour d’autres, ces paroles seraient de Salieri ou encore, plus vraisemblablement, de son premier professeur de musique, François Beck, en réponse au chanteur Joseph Legros qui s'indignait que Garat chantât sans musique.
  4. Pierre-François Pinaud, « Le cosmopolitisme musical à Paris à la fin du XVIIIe siècle », Chroniques d'histoire maçonnique, no 63. Son père était lui-même franc-maçon et avait même créé une loge.
  5. Herbert Schneider : Gesellschaft für Musikforschung, Société française de musicologie, p.276, 2002. Pour Fétis, ils auraient tout de même pris la mer mais en raison des intempéries se seraient retrouvés à Hambourg avant de revenir rapidement en France.
  6. Il fut aussi directeur de la Banque de France.
  7. a, b et c Michaud, Biographie universelle, vol. 15, 1856.
  8. Dans son legs, on trouve un piano « Erhard ».
  9. Sur l'œuvre de Jacques-Louis David, Les Sabines, elle donne ses traits à Hersilie, à genoux, les bras en croix, au centre de la toile, s'interposant entre son époux Romulus à droite, qui s'apprête à lancer son javelot contre Tatius le père d'Hersilie, qui se protège avec son bouclier.
    Source 
    Adélaïde Victoire Noyel de Bellegarde, dame de Chenoise, dite « Adèle de Bellegarde » sur roglo.eu. Consulté le 6 août 2011
  10. Née en 1772 et morte en 1830, selon la généalogie donnée par le Comité des travaux historiques et scientifiques dans Histoire politique pendant la révolution française (actes 115 et 116), éditions du C.T.H.S, 1992, p. 216 (ISBN 2-7355-0238-4 et 9782735502387) et la généalogie de la Banque de France. Les enfants sont Louis (1801-1837) et Marie (1802-1882) qui sera inhumée dans le même caveau que son père et sous son nom marital. On remarque dans certaines généalogies et inscriptions des anomalies et des divergences de dates et d'orthographies.
  11. 14e division, mais la référence actuelle serait la 11e division.
  12. E. de Planard, Galerie historique des contemporains, 1819.
  13. La Décade philosophique, littéraire et politique, décembre 1794.

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