Montagnac-Montpezat

Montagnac-Montpezat
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43° 46′ 49″ N 6° 05′ 46″ E / 43.7802777778, 6.09611111111

Montagnac-Montpezat
Armoiries
Détail
logo
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Canton Riez
Code commune 04124
Code postal 04500
Maire
Mandat en cours
François Greco
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Luberon Durance Verdon

Pays de Haute-Provence

Démographie
Population 413 hab. (2008)
Densité 12 hab./km²
Gentilé Montagnacais
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 49″ Nord
       6° 05′ 46″ Est
/ 43.7802777778, 6.09611111111
Altitudes mini. 394 m — maxi. 653 m
Superficie 34,18 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Montagnac-Montpezat (Montanhac e Montpesat en provençal selon la norme classique et Mountagna-Mountpesat selon la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Montagnacais.

Cette commune a été créée le 1er janvier 1974 à partir de la réunion des communes préexistantes de Montpezat et de Montagnac-les-Truffes.

Sommaire

Géographie

Son territoire, dont la superficie est de 3418 hectares et dont l'altitude est comprise entre 394 et 653 mètres, est délimité au sud par le cours moyen du Verdon au niveau des gorges de Baudinard, en limite avec le département du Var (83). Il s'étend au nord jusqu'à la commune d'Allemagne-en-Provence et jusqu'à la vallée du Colostre. Il comprend deux centres de peuplement distants d'environ quatre kilomètres : les villages historiques de Montagnac et de Montpezat, deux communes associées.

Selon le recensement de 1999, la commune de Montagnac-Montpezat comptait alors 321 habitants (source : INSEE). À l'instar de la plupart des villages alentour, Montagnac-Montpezat connaît un accroissement considérable de sa population en été, du fait d'un important tourisme saisonnier lié à l'attrait des gorges du Verdon.

Montagnac-Montpezat fait partie du Parc naturel régional du Verdon et du canton de communes de Riez.

Sites et accessibilité

Montpezat est situé en position dominante sur un mamelon, à flanc de la falaise constituée par le bord du plateau de Valensole. Il surplombe ainsi la dépression créée par la vallée du Verdon au niveau des gorges de Baudinard et occupée, depuis les années 1970, par les eaux de la retenue artificielle de Quinson.

Montagnac est situé au nord de ce village, à équidistance de la ligne que fait le bord du plateau de Valensole. Il y occupe le sommet d'une colline dominant le creux d'une dépression.

De ce fait, le territoire de la commune récente de Montagnac-Montpezat réunit différents écosystèmes : il est formé en partie du plateau de Valensole (plaines de Giraud et de Puberclaire) et des gorges du Verdon (Saut du Bouc).

Une route départementale relie le village d'Allemagne-en-Provence à Montagnac : la D111 ; en suivant celle-ci au-delà du village de Montagnac sur près de deux kilomètres, il faut ensuite bifurquer et suivre la D211 à nouveau sur deux kilomètres pour rejoindre Montpezat.

Géologie et paysage

Sur la rive gauche du Verdon, les lithosols n’ont jamais permis le développement d’une forêt[1].

Communes limitrophes[2]

Remarque : les communes données ci-dessus sont celles qui sont réellement limitrophes (sur le plan de leurs limites administratives) avec Montagnac-Montpezat, même sur quelques centaines de mètres ; Quinson malgré la proximité de son territoire ne touche pas physiquement la commune[3].

Hydrographie

Le Verdon arrose la commune de Monagnac-Montpezac.

Histoire

Montagnac

Le village de Montagnac, nommé « Montagnac-les-Truffes » de 1815 à 1940, est mentionné la première fois en 1020 (Monteniacus), et en 1419 (Castrum de Montauliaco)[4].

Durant cette période, Montagnac fut probablement à l'origine un castrum, qu'évoque son nom, construit au XIIe siècle. Il appartint successivement aux abbés de Lérins (XIIe siècle), aux comtes de Provence, aux évêques de Riez (de 1309 à la Révolution). Les Simiane sont coseigneurs en 1321, François Pontevès Simiane en 1672[4]. En 1590 (guerres de religion), le château-fort épiscopal (qui se trouvait à l'ouest du village actuel) est assiégé par Lavalette et 1000 hommes environ. Il est pris grâce à une trahison, l'évêque de Riez est rançonné et le village et le château sont rasés[5],[6].

Durant la Révolution, deux sociétés populaires sont créées après la fin de 1792, une à Montagnac et une à Montpezat[7].

Renommé au XIXe siècle pour ses truffes, le village était également connu pour ses tourneurs sur bois, dont un est aujourd'hui en activité.

Notamment en raison de sa proximité avec Allemagne-en-Provence (sur la route principale d'accès aux gorges du Verdon par le nord), Montagnac est aujourd'hui le centre le plus dynamique de la commune : l'accroissement de sa population est principalement lié à l'installation de néo-ruraux dont le lieu d'activité peut être situé à Aix-en-Provence ou à Manosque.

Montpezat

Montpezat, dont la butte (mamelon) dominait jadis une boucle formée par le cours du Verdon en amont de Quinson, est cité pour la première fois à l'écrit en 1138[8].

Les abords du site étaient fréquentés dès l'âge du bronze, ainsi que l'ont montré les vestiges découverts dans les abris sous roche aux lieux-dits la « Grotte Murée » et l'« Abri du Capitaine ». Dans la première, une sépulture campaniforme de nouveau-né a été découverte, datant du néolithique[9], qui est considérée comme une preuve d’une hiérarchie héréditaire existant dès cette époque[10].La grotte des Deux Porches a quant à elle livré des restes de bouquetin et de cheval chassés par l’homme de Néandertal[11]. Durant la période gallo-romaine, d'autres vestiges témoignent de l'existence d'un sanctuaire sur le plateau. Des inscriptions latines sont présentes sur un mur de la ferme Saint-Saturnin.

Le village fut la possession des évêques de Riez (de 1234 à 1631) et des Vintimille (de 1271 à 1700). Au XVIIIe siècle, la famille d’Abran détient la seigneurie du lieu[12]. En 1793, le château est désigné comme pouvant être détruit, mais échappe à la démolition[13]. Éprouvé par la diminution constante de sa population liée à l'exode rural dès la fin du XIXe siècle, il était presque vidé de ses habitants durant les années 1950. En 1965, Montpezat ne comptait ainsi plus que sept habitants[2].

Aussi, il fut réuni à la commune de Montagnac en 1974, avant que la proximité du lac de retenue de Quinson (le barrage fut mis en eaux en 1975, lors de l'aménagement hydro-électrique de la rivière par l'EDF) ne le transforme en lieu de villégiature et de résidences secondaires.

Pour profiter de la proximité du nouveau plan d'eau et devant le succès du lac de Sainte-Croix, un important complexe touristique fut construit au sud-est en bas du vieux village durant les années 1980. Ce complexe a d'abord été un site du « Club Méditerranée » avant de devenir un « village de vacances » VVF, offrant 174 logements, des courts de tennis et une piscine.

Toponymie

Le nom de Montagnac, tel qu’il apparaît pour la première fois dans les textes (in castro Montaniacus vers 1020, etc.), montre que l'étymologie est semblable à celle des autres Montagnac du sud de la France (Montigny et Montagny du nord et du domaine francoprovençal). Selon Albert Dauzat et Charles Rostaing[14], il s'agit du nom propre romain Montanius, suivi du suffixe gallo-roman -acum. Ernest Nègre donne la même explication[15],[16]. Il s'agit d'un des rares exemples de toponymes en -acum en Provence où il est généralement remplacé par le suffixe latin -anum.

Le nom de Montpezat, tel qu’il apparaît pour la première fois dans les textes en 1138 (Mont Pesad), est interprété de différentes manières:

  • pour Ernest Nègre, c’est un composé de l’occitan mont et du verbe pezar, rendre difficile, pour décrire la montagne fortifiée et dont la prise était rendue difficile[17] ;
  • son nom viendrait du latin pensare : peser, au participe, pourrait conserver le souvenir du droit de péage associé originellement à cette forteresse[réf. nécessaire] ;
  • ou du latin mons petra, c'est-à-dire « mont de pierre »[8] ; la partie supérieure de la colline sur laquelle se trouve le village est constituée d'un conglomérat de galets et d'argile (poudingue).

Héraldique

Blason Montagnac04.svg

Blasonnement :
D'azur à une crosse d’or en pal accostée de deux montagnes d’argent (symbole du château des évêques de Riez)

Blason Montpezat.svg

Blasonnement :
De sinople à un pal d’or, coupé d’or à un écureuil de sinople[18].

Démographie

Montagnac

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 710 lacune 721 702 713 710 669 690 656 653
Années 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 645 646 651 646 609 594 617 575 583 561
Années 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 -
Population 527 354 294 294 263 223 200 194 185 -
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1968
Sources : Insee[19], EHESS[20]
Courbe d'évolution démographique de Montagnac de 1793 à 1968

La baisse brutale entre les recensements de 1911 et 1921 est due à une surmortalité liée à la Grande Guerre et à la grippe espagnole, ainsi qu’à la poursuite de l’exode rural.

Montpezat

Évolution démographique
Années 1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831
Population 31 feux 13 feux 151 213 179 170 144 151
Années 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
Population 130 142 139 145 125 128 118 99
Années 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
Population 106 109 82 94 100 86 70 66
Années 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
Population 47 52 38 29 12 11 14 8
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1968
Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[12] ;x Insee, EHESS[21] pour les chiffres issus des recensements légau
Courbe d'évolution démographique de Montpezat de 1793 à 1968

L’échelle de ce graphique est trois fois moins haut que celle du graphique précédent : l’évolution est la même, mais avec une population trois fois moins importante.

Montagnac-Montpezat

Évolution démographique
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
Population 208 193 162 215 279 321 399[22] 445[23]
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
Sources : Insee[24], EHESS[25]
Courbe d'évolution démographique de l’ensemble Montagnac-Montpezat depuis 1962

Administration

Intercommunalité

Montagnac-Montpezat fait partie de la Communauté de communes Luberon Durance Verdon.


Cette intercommunalité est composée des communes suivantes :

Allemagne-en-Provence, Brunet, Esparron-de-Verdon, Gréoux-les-Bains, Manosque, Montagnac-Montpezat, Montfuron, Puimoisson, Quinson, Saint-Laurent-du-Verdon, Saint-Martin-de-Brômes, Valensole et Vinon-sur-Verdon.

Municipalité

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 1989 Fernand Bagarre    
mars 1989 mars 2001 Pierre Vernet    
mars 2001 mars 2008 Roger Reille    
mars 2008   François Greco[26]    

Enseignement

La commune est dotée d’une école primaire[27].

Économie

Lieux et monuments

Des vestiges gallo-romains ont été retrouvés dans des grottes[8], ainsi que des tombes en bâtière construites avec des tuiles, d’époque gallo-romaine. Les vestiges d’un temple gallo-romain sont également visibles.

La mairie est située au cœur du village, face à l'église paroissiale.

Le pont Sylvestre (ou pont de Silvestre[28]), dit « romain », permettait le franchissement de la gorge du Verdon à un endroit resserré, sur la route de Baudinard[29]. Il a été détruit lors de la Libération (Histoire). Construit à l'origine avec une seule arche à double rouleau, de 14 m de portée, le pont étant large de 6,44 m. Détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, il est remplacé dans les années 1950 par une passerelle de bois. Un pont au tablier en béton est construit en 1975. Datant du XVIIe siècle, l’ancien pont est classé monument historique en 1930[30] (également sur la commune de Baudinard).

L’église paroissiale est placée sous le vocable de Saint-Pierre-aux-Liens[5], et son saint patron est saint Christophe. Elle est de style roman, et a été réparée au XVIIe siècle. Elle possède une statue de saint Antoine le Grand le Truffier, accompagné de son cochon. La crèche de Noël, qui possède quinze santons de cire et de carton-pâte, est classée monument historique au titre objet et date de la première moitié du XIXe siècle[31],[32].

Les ruines du château médiéval des évêques de Montagnac dominent le village[33]. Le château de Montpezat, transformé en demeure, surplombe le village : il est daté en partie des XIIe, XIIIe (porte voûtée à hauts claveaux), XIVe, XVIe (meneaux) et XVIIIe siècles[34],[35]. La cheminée en gypserie, menacée par les intempéries suite à un effondrement d’un pan du château, a été déposée et transportée au château de Clumanc : son manteau est orné d’une palme croisée avec une branche de feuillu, et d’autres motifs végétaux[36].

Le château de Montpezat fait aujourd'hui partie d'une propriété privée située à côté de l'église. Cette dernière, de style roman, classé monument historique[37], est placée sous la protection de saint Julien de Tolède. Construite au XIIIe siècle avec deux chapelles latérales, elle a été remaniée au XVIIIe : elle présente un chevet plat, et des voûtes d’ogives retombant sur culots[34]. Sa cloche date de 1530. Le bâtiment est un monument inscrit[38].

L’église Saint-Saturnin, proche de la rivière, est aménagée en ferme. Il subsiste l’abside et une partie des murs, en bel appareil de petite taille[39].

Personnalités liées à la commune

Vie locale

Voir aussi

Articles de Wikipédia

Liens externes

Sources

Bibliographie

  • Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
  • Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969

Notes

  1. Jean Gagnepain, Préhistoire du Verdon, Alpes-de-Haute-Provence et Var : des origines à la conquête romaine, Édisud, Aix-en-Provence, 2002. (ISBN 2744903477), p 31
  2. Geoportail de l'IGN avec limites administratives
  3. Voir tableau d'assemblage du cadastre accessible en ligne : [1]
  4. a et b « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence no 308, 2e trimestre 1989, p 5
  5. a et b « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence no 308, 2e trimestre 1989, p 6
  6. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 273
  7. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
  8. a, b et c Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7) 
  9. Jean Gagnepain, Préhistoire du Verdon, Alpes-de-Haute-Provence et Var : des origines à la conquête romaine, Édisud, Aix-en-Provence, 2002. (ISBN 2744903477). Préface de Jean Courtin, p 73
  10. Jean Gagnepain, Préhistoire du Verdon, p 76
  11. Jean Gagnepain, Préhistoire du Verdon, p 56
  12. a et b Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 186
  13. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 243
  14. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968.
  15. Charles Rostaing, op. cit., p 361-362
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes § 7266, p 473
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume III : Formations dialectales (suite) ; formations françaises § 26877, p 1481
  18. « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence no 308, 2e trimestre 1989, p 6-7
  19. Montagnac sur le site de l’INSEE
  20. EHESS, notice communale de sur la base de données Cassini, consultée le 27 juillet 2009
  21. EHESS, notice communale de Montpezat sur la base de données Cassini, consultée le 27 juillet 2009
  22. Insee, Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009
  23. Insee, Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010
  24. Montagnac-Montpezat sur le site de l’Insee
  25. EHESS, notice communale de Montagnac-Montpezat sur la base de données Cassini, consultée le 27 juillet 2009
  26. Site de la préfecture des AHP
  27. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Manosque, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
  28. Feraud, Géographie et statistique des Basses-Alpes
  29. Feraud : sur le chemin de La Bégude à Draguignan
  30. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 102
  31. Raymond Collier, op. cit., p 532
  32. Arrêté du 13 juin 1988, notice de la Base Palissy, consultée le 24 novembre 2008
  33. Raymond Collier, op. cit., p 273
  34. a et b « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence no 308, 2e trimestre 1989, p 8
  35. Raymond Collier, op. cit., p 248
  36. Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe-XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, 1995, ISBN 2-909717-22-4, p 87
  37. inscription par arrêté du 4 juillet 2003.
  38. Arrêté du 4 juillet 2003, notice de la Base Mérimée, consultée le 24 novembre 2008
  39. Raymond Collier, op. cit., p 64

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