Mellecey

Mellecey

46° 48′ 41″ N 4° 43′ 45″ E / 46.8113888889, 4.72916666667

Mellecey
Vue d'une partie du bourg de Mellecey
Vue d'une partie du bourg de Mellecey
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Bourgogne
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Canton Givry
Code commune 71292
Code postal 71640
Maire
Mandat en cours		 Michel Cessot
2008-2014
Intercommunalité Le Grand Chalon
Démographie
Population 1 197 hab. (2007)
Densité 84 hab./km²
Gentilé Mellecéens
Géographie
Coordonnées 46° 48′ 41″ Nord
       4° 43′ 45″ Est / 46.8113888889, 4.72916666667
Altitudes mini. 189 m — maxi. 371 m
Superficie 14,23 km2
Localisation carte nationale
Modèle:Géolocdual/Saône-et-Loire

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Mellecey est une commune française, située dans le département de Saône-et-Loire à environ dix kilomètres au nord-ouest de Chalon-sur-Saône et la région Bourgogne. Les habitants de ce village viticole sont les Mellecéens.

Sommaire

Géographie

Communes limitrophes

Accès et transports

Mellecey est à une distance de 11 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), à 7 kilomètres de la ligne ferroviaire Paris-Lyon-Marseille, à 18 kilomètres du TGV (Le Creusot) et à 6 kilomètres de la route nationale 80 Chalon-Moulins.

Relief et géologie

Ce village viticole et agricole s'inscrit dans le paysage vallonné de la Côte Chalonnaise, sur des sols argilo-calcaires. Situé dans le bas de la vallée des Vaux, l'altitude du village varie entre 189 mètres et 371 mètres[1].

Hydrographie

La rivière qui traverse le village se nomme l'Orbise. Il existe aussi deux mares (la première à côté de la place d'Ayeneux et la deuxième au lieu-dit de la "Cour-Guichoux") qui communiquent avec l'Orbise.

Climat

C'est un climat tempéré à légère tendance continentale avec des étés chauds et des hivers froids[2], avec une amplitude thermique assez importante entre ces deux saisons. Les précipitations sont assez hétérogènes sur l'année, avec un mois de mai le plus pluvieux de l'année. Le vent qui souffle une partie de l'année est la bise. Les gelées tardives sont peu fréquentes sur le village en général. Il y a bien quelques lieux-dits ou les risques de gelées sont plus importante (on parle de zones gélives). De violents orages peuvent s'abattre sur la commune avec rarement de la grêle.

Les données climatiques retenues sont celles de Dijon et Mâcon, Mellecey étant située entre ces deux villes.

Pour la ville de Dijon (316 m), les valeurs climatiques jusqu'à 1990 :

Relevés Dijon ????-1990
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) -1 0,1 2,2 5 8,7 12 14,1 13,7 10,9 7,2 2,5 -0,2 6,3
Température moyenne (°C) 1,6 3,6 6,5 9,8 13,7 17,2 19,7 19,1 16,1 11,3 5,6 2,3 10,5
Température maximale moyenne (°C) 4,2 7 10,8 14,7 18,7 22,4 25,3 24,5 21,3 15,5 8,6 4,8 14,8
Précipitations (mm) 49,2 52,5 52,8 52,2 86,3 62,4 51 65,4 66,6 57,6 64,2 62 732,2
Source : Infoclimat : Dijon (????-1990)[3]


En 2007 :

Relevés Dijon 2007
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température moyenne (°C) 5,3 6,4 6,9 14,7 15,6 18,5 18,7 18,2 14,4 10,7 5,3 1,6 11,3
Source : Infoclimat : Dijon (2007)[4]


En 2008 :

Relevés Dijon 2008
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température moyenne (°C) 3,8 4,7 6,3 9,1 15,8 17,8 19,9 18,6 13,8 10,3 6,4 2,1 10,7
Source : Infoclimat : Dijon (2008)[5]


En 2009 :

Relevés Dijon 2009
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température moyenne (°C) -1 2,5 6,7 12 16,3 18,2 20 21,2 16,5 10,6 8,2 2,9 11,2
Source : Infoclimat : Dijon (2009)[6]


Pour la ville de Mâcon (216 m), les valeurs climatiques de 1961 à 1990 :

Relevés Mâcon 1961-1990
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) -0,6 0,7 2,5 5,2 8,9 12,3 12,4 13,9 11,1 7,5 2,9 0,1 6,6
Température moyenne (°C) 2,1 4 6,8 10 13,9 17,5 20,1 19,4 16,4 11,7 6 2,7 10,9
Température maximale moyenne (°C) 4,9 7,3 11,1 14,8 18,9 22,8 25,7 24,9 21,7 15,9 9,1 5,3 15,2
Précipitations (mm) 66,3 60,9 58,7 69,4 85,9 74,7 58,1 77,1 75,7 71,7 72,7 70,4 841,4
Source : Infoclimat : Mâcon (1961-1990)[7]


Histoire

Antiquité

De nombreuses trouvailles faites dans le village et ses hameaux prouvent que des hommes y ont séjourné dès l'époque préhistorique[8]. La Grotte de Mellecey révèle la présence de deux cents fragments de pigments de couleur ocre au sol montrant la présence de tribus nomades, des silex, des outils en forme d'os, des parures, des sagaies[9]... Sur le lieu-dit des Rièpes (versant de la montagne qui sépare Mellecey et Givry), des monnaies gauloises, des poteries brisés, des silex taillés et des objets en fer y ont été découverts[8],[10]. Connue sous le nom de Meleciacum puis Melyceyum, elle était traversée par la voie romaine Agrippa qui reliait Autun à Chalon, dont les vestiges demeurent visibles sur le Montadiot[11]. Toujours de l'époque romaine, ont été découverte des tuilles romaines, des tessons de céramique, des débris de colonnes, des marbres et une stèle d'Epona. Également de cette époque ont été trouvés des restes d'une grande villa gallo-romaine près de l'église[8]. Une inscription en marbre blanc, paraissant dater de la fin du VIe siècle, prouve la présence des Mérovingiens dans la commune[12]. Le plus ancien document du village est un écrit de Didier, évêque d'Auxerre, de 621 environ, qui donne à son église, les vignes qu'il y possédait, avec les vignerons, serfs, bois et dépendances[12]. Cet écrit stipule que la commune est désigné comme un chef-lieu de canton dans le pays de Chalon (Ager Miliacensis in pago Cabilonensi)[12].

Moyen Âge et Renaissance

Marguerite III de Flandre.
Le corps de logis du château de Germolles vu du nord

En 761, la Villa Publica du village est incendié par l'armée de Waifre (Comte d'Aquitaine)[13]. La commune de Mellecey est une possession des moines de Saint-Martin de Tours depuis au moins l'an 774[14]. En 842, les trois petits-fils de Charlemagne (Lothaire, Louis le Germanique et Charles le Chauve) se retrouvent dans ce village pour régler un différend et préparer le traité de Verdun (843)[11],[13]. En 877, Charles le Chauve octroie aux frères License de bâtir dans le village un monastère et une chapelle[14]. Pendant tout le Xe siècle, Mellecey fera partie de la mense des chanoines. Du temps des pèlerinages, l'hôtellerie de Marloux devient une Maison-Dieu[15]. Au XIIe siècle, une famille du nom de Marne ou Marnay prend le titre de seigneur du village, mais s'éclipsera au XIVe siècle devant le Fief de Germolles et surtout celui de Montaigu[16]. Jeanne de Dracy, dame de Germolles, épouse Guillaume de Montaigu en 1362[17]. Guillaume vend la terre en 1378 à Philibert Paillard, chancelier de Bourgogne, qui la cède trois ans plus tard à Philippe le Hardi, duc de Bourgogne avec la terre de Mellecey[17]. Le duc offre le domaine à son épouse Marguerite III de Flandre qui transforme l'austère grange fortifiée en palais de plaisance[11],[17]. Celui-ci dénommé désormais château de Germolles se caractérise par sa modernité. On y crée la plus grande roseraie d'Europe[11]. Philippe le Hardi étant fils du roi de France Jean le Bon, frère du roi Charles V, et oncle et régent du roi Charles VI, de nombreux rois viennent séjourner en son château[11]. Ainsi Charles VI, s'y arrête en 1389 et le duc d'Orléans en 1395[18]. Le duc Philippe III le Bon cède le château à sa tante Catherine de Bourgogne en 1425[18]. Plus tard, Henri IV y aurait retrouvé la belle Gabrielle d'Estrée[11]. Les 13 et 14 septembre 1452, le Saint-Suaire de Turin aurait été présenté au public au château de Germolles, grâce à Marguerite de Charnay, amie du duc Philippe III le Bon et à sa troisième épouse Isabelle du Portugal[11].

Il y avait dans la commune plusieurs fours à chaux et tuileries.

Période moderne

En 1673, les habitants de Mellecey et Germolles produisent des pièces (pour de la propriété de vignes et de bois) pour un procès contre les habitants de Rusilly[19]. À la révocation de l'édit de Nantes, lors de la chasse aux protestants, un des notables de Mellecey, le sieur Guichoux, s'expatrie en Suisse en laissant son nom à son quartier (la cour Guichoux)[20]. L'hiver 1709 est très rigoureux et tue beaucoup de personnes dans la commune (53 morts cette année contre 20 d'habitude)[20].

Période contemporaine

XIXe siècle

Après la Révolution française de 1789, le village possède un comité de surveillance, et l'église est utilisée comme maison municipale[20]. Le 11, 12 et 13 avril 1811 des gelées entrainent une sensible baisse de la récolte viticole[20]. À cette période le village possède environ 260 hectares de vignes (cépage : gamay et noirien), soit environ un quart de la surface communale[20]. En 1814, des soldats Autrichiens séjournent dans le village[21]. Pendant le règne de Napoléon III, les règles de l'Empire font que le Te Deum est souvent chanté dans la commune[22]. Dans les dernières années de l'Empire, Emiland Menand, avocat chalonnais, représentant du peuple à l'assemblée en 1848 et 1849, se pose à Mellecey où il est nommé maire en 1870 à la fin du Second Empire[23]. En 1868, découverte de la Grotte de Mellecey[9]. En 1873 et 1887 des incendies dévastent le château de Germolles. Le phyloxera touche durement les vignes du village à partir de 1879[23]. À la fin du XIXe siècle, il est recensé la présence à Mellecey de huit exploitants de carrières, trois briqueteries, trois fabricants de chaux, cinq aubergistes, deux boulangers, huit épiciers-merciers, deux charrons, deux maçons, un charpentier, un serrurier, deux meuniers, deux marchands de tissus, deux facteurs de denrées, deux loueurs d'alambics, trois bouilleurs d'eau-de-vie et une sage-femme. Ainsi à Germolles, il y a deux aubergistes, deux épiciers-merciers, deux fabricants de chaux et tuiles, un charron, un forgeron, un marchand de machines à battre et un meunier-scierie hydraulique[24].

XXe siècle

La grêle touche durement le vignoble du village et ses vignerons en 1903 et 1917[25]. En 1906, le maire de Mellecey et les conseillers municipaux du hameau de Germolles demandent la séparation des deux localités, comme ils l'avaient déjà fait plusieurs fois[25]. À la fin de la Première Guerre mondiale, environ 150 cultivateurs-vignerons sont absents[26].

En 1930, il est recensé dans le village : deux boulangers, six épiciers-merciers, six aubergistes, cinq marchands de tissus, deux receveurs-buralistes, deux coiffeurs, deux cordonniers, un marchands de cycles, cinq électriciens, un hôtelier, huit maçons, deux maréchaux-ferrants, un menuisier, un meunier, une fabrique de briques, une fabrique de chaux, quatre exploitants de carrières, deux charrons, un charpentier, trois plâtriers, trois serruriers, deux commissionnaires en vins, deux voituriers, un cantonnier et deux garde-champêtres[27]. En 1990, certains secteurs du village plantés en vigne, qui correspondent en fait à des lieux-dits, obtiennent le classement en appellation d'origine Bourgogne côte-chalonnaise. Le 4 septembre 1992 marque officiellement le jumelage de la commune avec Ayeneux (Belgique)[28].

Héraldique

blason

Les armoiries de Mellecey se blasonnent comme suit :
De gueules à deux clefs d'or passées en sautoir, chapé d'argent, chargé en chef de deux fleurs de lys d'azur

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001  ? Michel Cessot SE  
1959 2001 Robert Landré SE  
 ? 1959 Jean Baptiste Mellenotte SE  
 ?  ? Mr Plassard SE  
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Jumelages

Drapeau de la Belgique Ayeneux (Belgique)

Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini-EHESS[29] et Insee 2009[30].)

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
702 846 927 943 981 1 041 1 013 1 009 992
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
938 954 990 1 060 1 042 1 110 936 940 962
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 001 896 871 746 681 644 614 658 689
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006    
784 738 788 1 067 1 102 1 142 1 171    

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Économie

Le village de Mellecey abrite plusieurs commerces, dont un bar-restaurant, un bar, une boulangerie, un tabac-presse et un salon de coiffure. Des artisans, notamment un menuisier, un électricien, deux plâtriers-peintres, un plombier-chauffagiste y sont installés, ainsi qu'un paysagiste, trois entreprises de bâtiment et une entreprise spécialisée dans les installations solaires photovoltaïques et de pompage d'eau solaire. Trois gîtes ruraux sont répartis dans le village. Une part importante de l'activité de la commune est liée à la viticulture et à l'agriculture, représentée par 5 viticulteurs et 3 agriculteurs.

Vignes au lieu-dit Les Bdeurs ou Sur le Château

Vignoble

Article détaillé : Bourgogne côte-chalonnaise (AOC).

Le vignoble atteint environ 80 hectares, autorisés à produire les appellations Bourgogne côte chalonnaise, Bourgogne, Bourgogne Aligoté, Bourgogne passetoutgrain et Crémant de Bourgogne.

Vie locale

Éducation

Il existe un groupe scolaire composé d'une école maternelle et d'une école primaire, qui a été créée en 1988.

Santé

Il y a 2 docteurs et un ostéopathe mais pas de pharmacie, pas de kinésithérapeute, pas de dentiste sur ce village. Les plus proches se trouvent à Givry et Mercurey. Le Centre Hospitalier se trouve sur Chalon-sur-Saône.

Sports

Stade de football des "Préau".

Un club de football, nommé l'Étoile Sportive Mellecey Vallée de Vaux avec deux équipes seniors, évoluant en 2010-2011, en 2e division de district du pays saônois (11e division nationale) pour l'équipe première et en 3e division de district (12e division nationale) pour l'équipe de réserve. Des équipes de jeunes sont en entente avec le club de football de Mercurey. Par rapport à ce club, deux stades sont implantés sur deux sites différents du village (le plus récent au lieu-dit des "Préau" et l'ancien à "Étaules").

Un club de tennis, le Tennis Club de la Côte Chalonnaise, également en entente avec le village de Mercurey, évolue au niveau départemental, utilisant deux terrains de tennis (au lieu-dit des "Retrait").

Le village est encore doté d'un terrain multi-sport (accueillant le football, basket-ball, etc.) et un terrain de pétanque.

La 6e étape du Tour de France 2007 entre Semur-en-Auxois et Bourg-en-Bresse passe par Germolles (qui fait partie de Mellecey)[31].

Écologie et recyclage

Le Grand Chalon gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères.

Culte

Le culte catholique est pratiqué dans la commune, les offices ont lieu en alternance avec d'autres paroisses.

Associations

Diverses associations participent à l'animation du village comme l'Étoile Sportive Mellecey Vallée de Vaux, le Comité des Fêtes, le Comité de Jumelages, le Club des Ainés, la Société de Pêche, la Société de Chasse ou les Amis de l'École.

Lieux et monuments

Article détaillé : Château de Germolles.
  • château de Germolles, résidence palatiale (XIIIe et XIVe siècles) avec le corps de logis, le châtelet et sa grand-vis, les deux chapelles dont la chapelle ducale nouvellement restaurée, le cellier, les vestiges de la salle d'honneur. Le château est précédé d'un hammeau et est entouré d'un parc romantique.

  • Vue aérienne du château de Germolles

  • Le château de Germolles sur sa façade est

  • Le corps de logis du château de Germolles

  • La chapelle ducale du château de Germolles nouvellement restaurée

Cliquez sur une vignette pour l’agrandir
  • église Saint-Pierre, de l'époque romane ;
  • chapelle de Marloux, XVe siècle ;
  • maisons typiques de Bourgogne  ;
  • borne-colonne de Marloux, XVIIIe siècle ;
  • lavoirs construits au XIXe siècle.
  • la grotte de Mellecey, site préhistorique.

  • L'église Saint-Pierre

  • Chevet de l'église

  • Ancien lavoir

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Personnalités liées à la commune

  • Robert Landré, chef d'entreprise de bâtiment et ancien viticulteur, maire de Mellecey de 1959 à 2001.
  • Louis Mellenotte (1920-2003), viticulteur, premier adjoint au maire de 1953 à 1989.
  • Jean-Baptiste Mellenotte, viticulteur, ancien maire.
  • Laurent et Jean Michel Pillot, viticulteurs.
  • Frédéric Charles[Qui ?], champion de France de semi-marathon. Il a participé à la finale du championnat de France de triathlon en [32].
  • Lyonel Leconte, Meilleur jeune sommelier de France en 1991 puis Meilleur sommelier de France en 1994[33].

Galerie d'images

  • Centre de Mellecey et rue principale, la route de la Vallée.

  • Vue d'une partie du bourg de Mellecey

  • L'église Saint-Pierre

  • Mairie

  • La salle des fêtes et Agorespace

  • Rue principale à Germolles (Mellecey)

  • Vignes au lieu-dit "Les Bdeurs" ou "Sur le Château"

  • Vignes au lieu-dit Les Bdeurs ou Sur le Château

  • Vignes (fin de "Les Bdeurs")

  • Vue de la rivière nommé l'Orbise

  • Vue de la rivière nommé l'Orbise

  • Vue de la rivière nommé l'Orbise

Cliquez sur une vignette pour l’agrandir

Bibliographie

  • Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, éditions : JPM, 2005, 400 pages, (ISBN 2-84786-036-3)
  • La Saône-et-Loire. Les 573 communes, éditions Delattre, Granvilliers, 2006, 255 pages, (ISBN 2-915907-23-4)
  • Plaquette du jumelage "Mellecey-Ayeneux", 2000, 27 pages.

Notes et références

Notes

Références

  1. ↑ La Saône-et-Loire ; les 573 communes, Mellecey, p. 135.
  2. ↑ André Dominé : Le vin, « La Bourgogne », p. 181.
  3. ↑ Archives climatologiques mensuelles - Dijon (????-1990) Consulté le 17 décembre 2008
  4. ↑ Moyennes de températures sur Dijon en 2007 Consulté le 17 décembre 2008
  5. ↑ Moyennes de températures sur Dijon en 2008 Consulté le 17 décembre 2008
  6. ↑ Moyennes de températures sur Dijon en 2009, consulté le 31 décembre 2009.
  7. ↑ Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990) Consulté le 17 décembre 2008
  8. ↑ a, b et c Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 329
  9. ↑ a et b Le journal de Saône-et-Loire, édition du samedi 5 septembre, p. 2
  10. ↑ Dr Lénez, vestiges d'un habitat préhistorique entre Givry et Mellecey, Mémoires SHAC, Chalon-sur-Saône, t, XXIX
  11. ↑ a, b, c, d, e, f et g Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 9
  12. ↑ a, b et c Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey, p. 330
  13. ↑ a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 331
  14. ↑ a et b Historique de Sainte-Colombe.
  15. ↑ Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 332
  16. ↑ Marcel Canat : Notes historiques
  17. ↑ a, b et c Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 334
  18. ↑ a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 335
  19. ↑ Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 337
  20. ↑ a, b, c, d et e Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 338
  21. ↑ Louis Gallas : Les invasions autrichiennes de 1814 et 1815 (Chalon-sur-Saône, 1938)
  22. ↑ Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 342
  23. ↑ a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 343
  24. ↑ Mr Siraud : Annuaire de Saône-et-Loire, Mâcon, 1886
  25. ↑ a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 345
  26. ↑ Archives de Mellecey
  27. ↑ Mr Siraud : Annuaire de Saône-et-Loire, Mâcon, 1930
  28. ↑ Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 7.
  29. ↑ Notice communale de Mellecey sur le site Cassini de l'EHESS.
  30. ↑ Données légales 2006 du recensement de population de Mellecey sur le site de l'Insee.
  31. ↑ Site du Tour de France, page sur l'itinéraire de la 6e étape du Tour de France 2007, consulté le 6 juillet 2011.
  32. ↑ Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 8.
  33. ↑ Site de l'Union de la Sommellerie Française, Liste des lauréats aux divers concours, consulté le 27 novembre 2009.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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