Marie de Chatillon (1345-1404)

Marie de Chatillon (1345-1404)

Marie de Blois-Châtillon

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Marie de Blois (1345-1404), dite aussi Marie de Blois-Châtillon, comtesse de Provence, régente du royaume de Naples, dame de Guise, était fille de Charles de Blois-Châtillon, duc de Bretagne et de Jeanne de Penthièvre.

Blason de la maison de Blois-Châtillon

Sommaire

Biographie

Son premier mariage

Au début de l’an de grâce 1351, Jean II le Bon prit une importante décision. Au cours du mois de janvier, pour dissimuler les penchants du connétable Charles d’Espagne[1], il se vit obliger de le marier à Marie de Blois. La jeune épousée n'avait que six ans. Elle devint veuve trois ans plus tard[2].

Son second mariage

Le 9 juillet 1360 eut lieu le second mariage de Marie. Elle épousa Louis de France, fils du roi Jean II et de Bonne de Luxembourg et lui apporta Guise en dot.

Ils eurent trois enfants :

Traître pour les yeux de la belle Marie

Après la défaite de Poitiers, le roi de France fut libéré contre une énorme rançon et la cession de l'Aquitaine. Pour garantir l'exécution du traité de Brétigny, en 1361, Louis fut envoyé comme otage à Londres avec son oncle et jeune frère Jean.

Pour les trois princes, fort bien traités, tout se serait parfaitement passé si Louis d’Anjou n'avait été pris d'impatience. Son cousin le roi Édouard III avait eu la sinistre idée de lui refuser la venue de son épouse.

Louis, prétextant un pèlerinage à Notre-Dame de Boulogne, s'enfuit pour retrouver sa belle rompant le serment qu'il a fait lors de sa venue en Angleterre. Son père, outré, vint donc le remplacer et mourut à Londres en 1364.

Le première rencontre de Marie et de Raymond de Turenne

Elle eut lieu à Narbonne où à la fin de l'année 1377, le jeune vicomte ayant été envoyé en ambassadeur par son oncle Grégoire XI auprès du duc d'Anjou. Le résultat des négociations de Raymond de Turenne ravit le pape, qui fort satisfait, écrivit le 1er mars 1378 à Louis d’Anjou:

«Nous avons reçu tes lettres écrites de ta main contenant comme tu avais reçu les nôtres de créance, et sur ce bénignement ouï Raymond, notre neveu, et Béraudon de Faudonas, ton chambellan, et depuis, à part et secrètement, le dit Raymond et maître Pierre Girard, lesquels nous ont écrit bien à plein la très bonne affection et amour que tu as envers nous et les grands honneurs et courtoisies que tu leur as fait, et comment toi et la duchesse voulsissent qu’ils vissent votre beau fils sur lequel Dieu veuille infundre sa bénédiction »[3].

La duchesse ignorait que ce fringant ambassadeur pontifical allait sous peu devenir sa bête noire.

La régente du comté de Provence en butte à l'Union d'Aix

Charles de Duras soutenu par les Ligueurs de l'Union d'Aix

Clément VII, en mai 1382, investit Louis d’Anjou du royaume de Naples. Après en avoir rendu hommage au pape, le duc donna ordre à son armée de s’ébranler pour aller secourir la reine Jeanne en butte à son neveu Charles de Duras. Il partait accompagné des comtes Pierre de Genève, frère du pape, et d’Amédée VI de Savoie.

Le 31 mai, Louis 1er d’Anjou et Marie de Blois se retrouvèrent à Pont-de-Sorgues. Le nouveau comte de Provence signa dans le château pontifical le texte de la régence et les pièces de l’alter ego. Son épouse ne resta pourtant pas sur place et se dirigea vers Orange en laissant le gouvernement de la Provence au sénéchal Foulques d’Agoult, vicomte de Reillane.

C’était surtout laisser le champ libre aux opposants à la seconde maison d’Anjou qui ne pouvait affectivement compter que sur le soutien des villes d’Apt, d’Arles, de Marseille, de Manosque, de Pertuis et de Saint-Rémy, ces deux dernières étant les fiefs des Roger de Beaufort.

La cité d’Aix-en-Provence avait pris la tête des mécontents. Le premier syndic Bertrand de Jouques avait pris l’initiative d’une confédération connue sous le nom d’Union d’Aix qui se déclara en faveur de Charles de Duras. Barral de Pontevès, devient Gouverneur et Capitaine Général des comtés de Provence et de Forcalquier pour les Ligueurs de l’Union[4].

Ayant passé les Alpes, le 8 mars 1383, Louis d’Anjou lança un appel à tous les peuples des pays où régnait la Reine Jeanne pour «prendre les armes et à courir sus à cette cité rebelle et très inique [Aix-en-Provence] ainsi que celles qui font partie de l’Union ».

Pensant mieux asseoir son autorité sur l’ensemble de la noblesse et des cités provençales, il décida aussi d’annuler toutes les donations faites par la première maison d’Anjou obligeant tous ses vassaux à lui rendre l’hommage lige. C’était pire qu’une faute politique. Le duc, dont ils avaient été parmi les plus fermes soutiens, venait de se mettre à dos les Roger de Beaufort qui dénoncèrent cette félonie[5].

Mais Guillaume III Roger de Beaufort face à la spoliation de ses fiefs provençaux par le nouveau comte resta inactif. Ce laxisme fut un véritable camouflé pour Raymond de Turenne[6].

Marseille et la France entrent en guerre contre l’Union d’Aix

Marseille, la cité fidèle à la seconde maison d'Anjou

Son appel fut toutefois entendu en Provence. Tout au long des mois de mars et d’avril Marseille, la cité fidéle, attaqua d’abord les galères de l’Union d’Aix, puis mit le siège devant Châteauneuf-les-Martigues, s’empara d’Auriol puis raya le Sarret de la carte[7].

Foulques d’Agoult, ne jugea pas utile d’intervenir personnellement mais, le 25 mars, il donna ordre à son vice-sénéchal Louis de Trian, vicomte de Tallard d’attaquer son «adversaire qui tient le parti d’Aix »[8].

Tout prit une autre tournure quand, le 18 mai 1383, la France intervint. Aimery de Maignac, évêque de Paris et émissaire de Charles VI, annonça devant le Conseil de Ville de Marseille que pour faire face à la présence des troupes de Balthazar Spinola, le sénéchal carliste qui venait de débarquer en Provence, le roi soucieux de défendre «les intérêts de sa parente la Reine Jeanne » avait ordonné à Enguerrand d’Eudin, son sénéchal de Beaucaire, d’entrer dans le comté. Il demanda aux Marseillais de l’aider à bouter cette armée carliste hors de Provence.

Le 24 juin, Marseille envoya 200 arbalestiers à Enguerrand d’Eudin qui assiègeait Saint-Cannat. Ils l’accompagnèrent quelques jours plus tard quand il mit le siège devant Aix. Le sénéchal de Provence décida alors qu’il était temps d’agir et fit appel à la cavalcade[9].

Mais dès les premières chaleurs de l’été 1383 une nouvelle épidémie de peste se déclencha en Provence et en Italie. Le siège d’Aix dut être levé en septembre 1383 ce qui permit à Marseille d’organiser le blocus du port de Bouc, son rival.

Ce ne fut que le 8 mars 1384 que Louis d’Anjou, qui se trouvait alors à Tarente, jugea utile de statuer. Par lettres patentes, il fit transférer à Marseille le siège de la Cour royale à cause de l’infidélité d’Aix.

Raymond de Turenne demande à Marie de Blois la restitution de ses fiefs

Raymond de Turenne
par Benvenuto di Giovanni (1436-1518)
fresque de l’Ospedale Santa-Maria della Scala à Sienne

Ce fut en cette année 1384, que, revenu de la guerre de Flandre et de la chevauchée de Bourbourg, Raymond de Turenne demanda la restitution de ses biens spoliés à la reine Marie. Il le fit par l’intermédiaire de deux gentilshommes qu’il avait chargé de lui remettre des lettres[10].

«Considérant que le roy Louys, roi de Naples et de Sicile, mary de la reine Marie, aurait dépouillé son père et luy de plusieurs places et chasteaux que la reine Jeanne luy avait donné en récompense des fidèles services qu’il avait rendu à sa Majesté tant au royaume de Naples que ailleurs et en plusieurs autres honorables occasions où il avait fait preuve de sa personne, d’où pour bien faire sa demande avec honneur, ledit vicomte envoya deux de ses gentilshommes à la reyne Marie, mère et gouvernante de Louys, fils du roy Louys décédé, la suppliant luy vouloir rendre et restituer les biens et places à luy appartenant comme héritier de feu son père et encore par contrat de mariage entre luy et la sœur du prince d’Orange et du pape Grégoire XI son frère luy appartenant justement sans fraude ny tromperie lesquels lui auraient esté ostés injustement par les officiers du roy Louys, son feu mary.

Comme aussy qu’elle pouvait très bien savoir les deux gentilshommes suppliaient humblement ladite royne vouloir mettre en considération et mettre devant ses yeux les services agréables et si grands que leur maître avait rendu à leur couronne et dans toutes les occasions qu’il l’avait appelé. Que si Madame vous ne voulez entendre à la requeste que nous vous faysons ou notre maistre et lui donner justice nous protestons que notre maistre se pourvoira par tous les moyens et remèdes qu’il pourrait adviser ».

La réponse écrite de Marie de Blois aux deux gentilshommes est aussi connue.

«Je suis toute prête et disposée pour le satisfaire et récompenser fort largement des frays et mises employées pour le service de la couronne sellon le rapport fidelle qui sera fait sur ce sujet par les gentilshommes arbitres de part et d’autre ».

Le copiste a ajouté :

«À cette responce le vicomte montra d’accéder très volontiers tellement que les affaires se passèrent pour ceste fois sans bruit ».

Notes

  1. Dans sa Cronica, Matteo Villani parle «d’une amour singulière » entre le roi de France et son ami d'enfance. Le connétable avait été fait comte d’Angoulême et de Montfort-l’Amaury.
  2. Certaines biographies font état d'un mariage du favori du roi Jean avec sa sœur et cadette Marguerite de Blois-Châtillon. En tout état de cause l'assassinat du connétable, le 8 janvier 1354, par les gens d'armes de Charles le Mauvais mit un terme à cette union avec une des filles de Charles de Blois qui n'avait satisfait que le roi de France.
  3. Cf. H. Jassemin et L. Mirot, Lettres secrètes et curiales du pape Grégoire XI relatives à la France (1370-1378), Bibliothèque des écoles françaises d’Athènes et de Rome, 1er fasc, 1935.
  4. D’après l’abbé Papon, les Ligueurs affiliés à l’Union d’Aix, auraient souhaité avoir comme comte-roi le jeune Charles VI. Cette explication à posteriori est loin d’être satisfaisante. Ce qui est avéré est que face à une situation confuse le Conseil du jeune roi de France et singulièrement ses oncles de Bourgogne et de Berri lui firent prendre la décision de mettre sous sa protection les Provençaux qui se réclamaient de Duras contre son oncle d’Anjou.
  5. Et ils avaient raison. En effet par un acte en date du 25 mai 1365, la Reine Jeanne avait fait savoir à son Sénéchal Foulques 1er d’Agoult qu’elle se donnait le droit de révoquer ou de pouvoir révoquer toutes les aliénations de son comté à l’exception des donations attribuées aux abbayes de Montmajour et de Saint-Victor de Marseille, ainsi que celles faites à son chambellan Bertrand des Baux et au comte de Beaufort, vicomte de Turenne. Selon la coutume, Louis d’Anjou se devait de respecter ces clauses. Car si une seigneurie était injustement retirée, le baron lésé avait le droit de se rebeller, assuré qu’il était d’être soutenu par tous ses pairs, le droit de se battre en guerre privée y compris contre le suzerain étant l’essence même du régime féodal. Et un tel mépris des droits féodaux s’avéra insupportable au bouillant Raymond de Turenne.
  6. C’est du moins l’explication que nous en a donné l’abbé Boyer de Sainte-Marthe, en commentant la fureur de Raymond de Turenne : «Dès que le duc d’Anjou mis en avant ses prétentions sur la Provence, il se déclara hautement pour lui, il favorisa puissamment le siège de Tarascon, il repoussa le parti de Duras à force ouverte. Une conduite si hardie et si heureuse lui donnait lieu de tout espérer de Louis et, toute fois, ce prince n’eût aucun égard pour lui dans une occasion très importante : car, ayant fait publier un Edit Général sur la réunion de son Domaine, Raymond fut traité comme les autres, nonobstant les privilèges qu’on lui avait accordé ; le procédé le piqua au vif ». Cf. A. Boyer de Sainte-Marthe, Histoire de l’église cathédrale de Saint-Paul-les-Trois-Châteaux, Avignon, (1710).
  7. Ce fut le 13 mars 1383, que les galères de Marseille attaquèrent celles de Toulon et Hyères. Le siège de Châteauneuf-lès-Martigues débuta le 28 mars et ne dura que trois jours. Auriol, cité carliste, fut prise par les Marseillais le 22 avril. Ils purent dès lors se rabattre sur le Sarret. Cette petite ville, entourée de murailles et fortifiés par son castellas, s’était déclarée en faveur de Charles de Duras. Elle fut assiégé et prise par les Marseillais qui l’anéantirent. Les habitants du Sarret, rescapés du massacre, s’installèrent près de l’Huveaune où ils fondèrent Roquevaire.
  8. Cf. Journal de Jean le Fèvre, op. cité, en m'absence de précision de l'évêque de Chartres on peut penser qu'il s'agissait soit de Barral de Pontevès soit de Balthazar Spinola, sénéchal de Naples.
  9. Le terme de cavalcade désignait l'armée d’ost
  10. Dans ce document archivé à la Bibliothèque Ingimbertine de Carpentras, le fils aîné de Guillaume III Roger de Beaufort est dit «vicomte de Turenne, citoyen et habitant de la ville d’Avignon, appelé actuellement Raymond de Turenne », Marie de Blois est désormais le plus souvent nommée la «reine Marie ».

Bibliographie

Marie de Blois dans les chroniques contemporaines
  • L. Bonnement, Mémoires de Bertrand Boysset. Contenant ce qui est arrivé de plus remarquable particulièrement à Arles et en Provence depuis 1372 jusqu’en 1414, Le Musée. Revue arlésienne, historique et littéraire, 1876-1877.
  • J. Le Fèvre, Journal de Jean Le Fèvre, évêque de Chartres, chancelier des rois de Sicile Louis 1er et Louis II d’Anjou, T. I, Éd. Moranvillé, Paris, 1887.
  • P. Pansier, La chronique avignonnaise de Guillaume Garet, d’Étienne de Governe et de Barthélemy Novarin (1392-1519), Annales d’Avignon et du Comtat Venaissin, 1913.
  • R. Brun, Annales avignonnaises de 1382 à 1410 extraites des Archives Datini, Mémoires de l’Institut historique de Provence, 1935-1938.
Marie de Blois et la guerre de l’Union d’Aix
  • A. Venturini, La guerre de l’Union d’Aix (1383-1388), in 1388. La dédition de Nice à la Savoie, Actes du colloque international de Nice, Paris, 1988.
  • N. Coulet, L’Union d’Aix dans l’historiographie provençale (XVIe-XVIIIe siècle), Provence Historique, 40, fasc. 162, 1990.
  • G. Xhayet, Partisans et adversaires de Louis d’Anjou pendant la guerre de l’Union d’Aix, Provence Historique, 40, fasc. 162, 1990.
Marie de Blois, ses guerres en Provence et en Italie
  • E. Rose, Études historiques et religieuses sur le XIVe siècle ou Tableau de l’Église d’Apt sous la Cour papale d’Avignon, Avignon, 1842.
  • M. Mineur, Les États Généraux en Provence de 1371 à 1385, Revue des Sociétés savantes, 36, 6ème série, 1876.
  • P. Poindron, Les frontières des comtés de Provence et de Forcalquier du XIIe siècle à 1481, Bibliothèque de l’Ecole des Chartres, 1935.
  • M. de Bouard, Les origines des guerres d’Italie. La France et l’Italie au temps du Grand Schisme d’Occident, Paris, 1936.
  • F. Menkès, Aspects de la guerre de Provence à la fin du XIVe siècle, in Mélanges offerts à E. Perroy, Paris, 1973.
  • M. Hébert, Tarascon au XIVe siècle. Histoire d’une communauté urbaine provençale, Aix-en-Provence, 1979.
  • R. Veydarier, Raymond de Turenne, la deuxième maison d’Anjou et de Provence : étude d’une rébellion nobiliaire à la fin du Moyen-Âge, thèse de l’Université de Montréal, Québec, 1994.
  • G. Gouiran et M. Hébert, Le livre «Potentia » des États de Provence, 1391-1523, Documents inédits in-8°, 25, Paris, 1997.
Marie de Blois dans l’histoire de la Provence
  • C. de. Nostredame, L’histoire et chronique de Provence par Cæsar de Nostradamus, gentilhomme provençal, Lyon, 1614.
  • H. Bouche, La Chorographie ou description de la Provence et l’histoire chronologique du mesme pays, T. I et II, Aix-en-Provence, 1664.
  • Ruffi, Histoire des comtes de Provence, Aix-en-Provence, 1665.
  • J. S. Pitton, Histoire de la ville d’Aix, capitale de la Provence, Aix, 1666.
  • P. J. de Haitze, Histoire de la ville d’Aix, capitale de la Provence, Aix, 1704.
  • J-F. de Gaufridi, Histoire de Provence, Aix-Paris, 1723.
  • J. P. Papon, L’histoire générale de la Provence, T. I à IV, Paris, 1777-1786.
  • C. F. Bouche, Essai sur l’Histoire de Provence, suivi d’une notice des provençaux célèbres, T. I et II, Marseille, 1785.
  • Boisson de la Salle, Essai sur l’histoire des Comtes Souverains de Provence, Aix, 1820.
  • L. Méry, Histoire de Provence, T. I à IV, Paris-Marseille, 1830.
  • A. Fabre, Histoire de Provence, T. I à IV, Marseille, 1833.
  • R. Busquet, Histoire de Provence, des origines à la Révolution française, Monaco, 1954.
  • J. R. Palanque, Histoire de Provence, Toulouse, 1969.
  • É. Baratier, sous la direction de. Histoire de la Provence, Toulouse, 1976.
  • F. X. Emmanuelli, Histoire de la Provence, Paris, 1980.
  • N. Coulet, Aix-en-Provence : Espace et relation d’une capitale (milieu XIVe-milieu XVe), Université de Provence, Aix-en-Provence, 1988.

Voir aussi

Liens internes

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