Les Demeures Philosophales

Les Demeures Philosophales

Fulcanelli

Frontispice du Mystère des cathédrales de Fulcanelli (1926), par Julien Champagne

Sous le nom de Fulcanelli (1839 ? - ?) parurent en 1926 et 1930 deux ouvrages ésotériques sur la symbolique alchimique, Le mystère des cathédrales et Les demeures philosophales. Ces ouvrages sont préfacés par Eugène Canseliet (1899-1982), qui se présente comme le disciple en alchimie de Fulcanelli, et illustrés par le peintre Julien Champagne(1877-1932).

Sommaire

Les témoignages

Il serait né dans la première moitié du XIXe siècle, peut-être en 1839[réf. souhaitée], et aurait consacré sa vie à l'alchimie et à la réalisation du grand œuvre, le rêve des alchimistes, soit le fait de découvrir les secrets de la vie éternelle et de la pierre philosophale permettant la transmutation du plomb en or[réf. souhaitée].

Eugène Canseliet, peut-être disciple en alchimie de Fulcanelli, raconte qu'il a fréquenté Fulcanelli de 1916 à 1922, et assisté à une transmutation en 1922, à Marseille[réf. souhaitée]. Il aurait revu son maître en 1953 à Séville (celui-ci lui aurait dit: "Tu me reconnais?"), alors que Fulcanelli aurait dû être âgé de 113 ans[réf. souhaitée]. En introduction aux ouvrages du maître, il affirme que Fulcanelli aurait bénéficié du "Don de Dieu" (Donum Dei), ce qui signifierait qu'il aurait découvert les secrets de la vie éternelle et aurait atteint l'immortalité.

En 1939 l'ésotériste Robert Ambelain, inspiré par Fulcanelli publie Dans l'Ombre des Cathédrales - Etude sur l'Esotérisme Architectural et Décoratif de Notre-Dame de Paris dans ses Rapports avec le Symbolisme Hermétique, les Doctrines Secrètes, l'Astrologie, la Magie et l'Alchimie. (Paris, Editions Adyar, 1939).

Hypothèses à propos d'une identité

Jean julien Champagne

De nombreuses hypothèses ont été émises sur la personne cachée sous le pseudonyme de Fulcanelli, qui paraît être une combinaison entre Vulcain et Élie[1] :

Le Mystères des cathédrales et les demeures philosophales furent republiés en 1957 et 1960 aux Éditions des Champs-Élysées, puis en 1964 et 1965 chez Jean-Jacques Pauvert.

En 1960, Louis Pauwels et Jacques Bergier publient Le matin des magiciens dans lequel Bergier affirme avoir rencontré Fulcanelli en 1937, à l'initiative du physicien André Helbronner[2], et qu'il s'agirait de René Schwaller de Lubicz[réf. nécessaire] : "Le secret de l'alchimie, le voici : il existe un moyen de manipuler la matière et l'énergie de façon à produire ce que les scientifiques contemporains nommeraient un champ de forces. Ce champ de forces agit sur l'observateur et le met dans une situation privilégiée en face de l'univers. De ce point privilégié, il a accès à des réalités que l'espace et le temps, la matière et l'énergie, nous masquent d'habitude. C'est ce que les alchimistes appellent le Grand Œuvre : la compréhension universelle de l'univers."

En 1962 la revue de Robert Amadou La tour Saint-Jacques consacrée à la parapsychologie et à l'ésotérisme, publie un dossier Fulcanelli dans lequel l'auteur ésotériste Robert Ambelain [3] Jean-Julien Champagne, alias Fulcanelli" affirme que Julien Champagne était appelé "mon maître" par Eugène Canseliet chez Jean Schemit le premier éditeur de Fulcanelli [4], ce qui est nié par Canseliet dans la même revue[5].

Pour Genviève Dubois "Les ouvrages publiés sous le pseudonyme Fulcanelli ont été l'oeuvre d'un collectif : Pierre Dujols l'érudit, Jean-Julien Champagne l'opératif et Eugène Canceliet chargé de rassembler les notes" [7].

On a enfin le témoignage du professeur Jean-Paul Dumont, spécialiste de la philosophie grecque : « Eugène Canseliet [...] nous avait autorisés à l'époque à révéler (dans une étude demeurée inédite) qu'il était lui-même l'auteur des livres portant la signature de Fulcanelli »[8].

Le mystère des cathédrales

Cet ouvrage paru en 1926 a pris, avec Les demeures philosophales qui le suivront, une importance majeure dans l'histoire de l'alchimie. Il prétend poser un autre regard sur l'art gothique français, en s'intéressant à l'interprétation de la symbolique selon lui assurément laissée par les alchimistes dans la pierre.

Fulcanelli s'intéresse ici en particulier à la cathédrale de Paris, à la cathédrale d'Amiens, se penche sur l'Hôtel Lallemant à Bourges, bâti quant à lui vers 1500.

Les demeures philosophales

Les Demeures philosophales, parues en 1930, prétendent mettre en évidence l'importance de la symbolique alchimique et d'un certain type de langage ésotérique dans l'histoire et l'architecture, grâce à divers exemples.

Fulcanelli y expose notamment ses thèses sur l'état des connaissances philosophiques et scientifiques au Moyen Âge et à la Renaissance, connaissances toujours vues par le prisme de la quête du Grand œuvre des alchimistes.

Fulcanelli y évoque également le langage codé des alchimistes et hermétistes: la langue des oiseaux:

« La langue des oiseaux est un idiome phonétique basé uniquement sur l’assonance. On n’y tient donc aucun compte de l’orthographe, dont la rigueur même sert de frein aux esprits curieux […]. »

L'ouvrage se conclut par une mise en garde touchant aux dangers d'un progrès scientifique illimité.

Demeures et lieux étudiés

Le mystère du troisième ouvrage

Le Finis gloriae muni (1672) de Juan de Valdés Leal (1622-1690) - qui aurait donné son nom au troisième livre, non publié de Fulcanelli

Fulcanelli aurait composé un troisième ouvrage, sous le titre Finis gloriae mundi, mais aurait décidé de ne pas le faire paraître, en retirant les notes à son disciple Canseliet. Le titre Finis gloriae mundi fait référence à un célèbre tableau de Juan de Valdés Leal (1622-1690). En 1954 il fut ainsi commenté par Eugène Canseliet: « Qui n'a vu cette toile à Séville, tout de suite en entrant dans l'église de la Santa Caridad, ne saurait en déceler tout le bouleversant magnétisme, pénétrant d'irrésistible tristesse l'âme déjà émue de présence irréelle, de quelque ombre illustre familière du lieu, et que concrétisent sans doute, en poignant témoignage, le masque mortuaire et l'épée de don Juan. L'hermétiste aurait beaucoup à découvrir dans la vie et les oeuvres du hermano major, Miguel de Manara, de qui Valdes Leal a présenté, dans sa caja sans couvercle, le cadavre (?) enveloppé du manteau blanc des chevaliers de Calatrava: - Ni mas, ni menos; ni plus, ni moins -. Cette main percée par le clou de la Passion, qui apparaît issant telle la main de gloire - la man de gorre, - de nos dialectes d'oc, utilisée pour la découverte des trésors, n'est pas celle du Christ, mais d'une femme, selon que le proclament le galbe délicat et le mouvement précieux. » [9]

En 1988, Jean Laplace publia dans la revue alchimique La tourbe des philosophes, le synopsis de l'ouvrage retrouvé dans une chemise cartonnée demeurant à l'abri dans la maison d'Eugène Canseliet à Savigny :

I. La décadence de notre civilisation et la déchéance des sociétés humaines

Incrédulité religieuse et crédulité mystique. Effets néfastes de l'enseignement officiel. Abus des plaisirs par la crainte de l'avenir. Fétichisme à notre époque. Symboles plus puissants qu'autrefois dans la conception matérialiste. Incertitude du lendemain. Méfiance et défiance généralisées. La mode et ses caprices révélateurs. Les initiés inconnus gouvernent seuls. Le mystère pèse sur les consciences.

II. Témoignages terrestres de la fin du monde

Les quatre Âges. Les cycles successifs scellés dans les couches géologiques. Fossiles. Flore et faune disparues. Squelettes humains. L'Asiatide. Monuments de l'humanité dite préhistorique. Cromlechs. Chandelier des trois croix.

III. Les causes cosmiques du bouleversement

Le système de Ptolémée. L'Almageste. Erreur du système de Copernic démontrée par l'étoile polaire. Précession des équinoxes. Inclinaison de l'écliptique. Variations inexplicables du pôle magnétique. Ascension solaire au zénith du pôle et retour en sens contraire provoquant le renversement de l'axe, le déluge et la fusion à la surface du globe.

En 1999, Jean-Marc Savary fait aux éditions Liber Mirabilis un autre texte intitulé Finis Gloriae Mundi, signé Fulcanelli et préfacé par Jacques d'Arès, successeur de Paul Le Cour à la tête de la revue ésotérique Atlantis, ce qui a déclenché une certaine polémique dans le microcosme alchimique[10].

Pour Richard Caron, le troisième livre de Fulcanelli, ce n'est pas le fameux Finis Gloriae Mundi, mais les Deux logis alchimiques de Canseliet.

Réception des ouvrages

Pour l'historien Robert Halleux[11], "l'idée que des monuments ou des œuvres d'art contiennent un symbolisme alchimique " ne remontent qu'au XVIIe siècle. « En sculpture, les mystérieux reliefs qui couvrent le plafond d'une petite salle dans l'Hôtel Lallemant à Bourges, construit en 1487, s'expliquent pour une bonne moitié dans un cadre alchimique, sans que cette interprétation soit tout à fait décisive. Mais il n'y a pas d'exemples certains pour le moyen âge. Le symbolisme des cathédrales ne paraît rien devoir à l'alchimie. L'interprétation hermétique est née à une époque où le sens religieux du symbole s'était, comme les pierres elles-mêmes, érodé. »

Selon l'historienne Maria Antonietta de Angelis, les caissons de la galerie du château de Dampierre-sur-Boutonne, longuement étudiés dans les Demeures philosophales, ont été inspirés par la mode des rébus et des devises et ne doivent rien ou quasiment rien à un langage alchimique[12].

L'universitaire Antoine Faivre dans son Accès à l'ésotérisme occidental (1986) juge que bien que « certains esprits romantiques » trouvent dans les sculptures des cathédrales « plus d'ésotérisme qu'elles n'en contiennent », il y a « sûrement quelque vérité dans les interprétations alchimiques de l'alchimiste Fulcanelli [qui] interprète les bas reliefs du portail central de Notre-Dame de Paris comme autant de symbole du Grand Œuvre.»[13] Il note ailleurs que les ouvrages de Fulcanelli « s’imposèrent d’emblée à l’attention des curieux d’alchimie ainsi que des historiens de l’art » et que « s’il semble difficile d’admettre toutes les propositions de l’auteur, celui-ci a eu au moins le mérite d’attirer l’attention de nos contemporains sur un aspect trop négligé de l’art médiéval. »[1].

Pour Didier Kahn : « On ne connait presque pas de monuments susceptibles d'être appelé alchimiques. La plupart de ceux qui furent allégués comme tels au cours des siècles affichent un symbolisme ou une emblématique qui s'expliquent bien plus simplement. »[14]. Il note que la symbolique de ces sculptures n'est pas spécifiquement alchimique, et un certain nombre de contre-vérités dans les ouvrages de Fulcanelli comme le thème du livre présenté à tort comme un symbole classique de la matière du grand œuvre, ou de la métaphore "art de la musique" pour l'alchimie qui n'est en fait jamais utilisée dans les textes [15]

Citations

  • « La cathédrale est une œuvre d' art goth ou d' argot. [...] L'argot reste le langage d'une minorité d'individus vivant en-dehors des lois reçues, des conventions, des usages, du protocole, auxquels on applique l'épithète de voyous, c'est-à-dire de voyants, et celle plus expressive encore, de Fils ou Enfants du Soleil. L'art gothique est, en effet, l' art got ou cot (Xo), l' art de la Lumière ou de l'Esprit » in Le Mystère des Cathédrales.
  • « Avez-vous réfléchi aux conséquences fatales qui résulteront d'un progrès illimité ? » in Les Demeures philosophales.

Publications

  • Le Mystère des Cathédrales et l’interprétation ésotérique des symboles hermétiques du Grand-Œuvre. Préface de E. Canseliet, F. C. H. Ouvrage illustré de 36 planches d'après les dessins de Julien Champagne, Paris, Jean Schemit, 1926, in-8, 150 p. Dernière réédition : Société nouvelle des Éditions Pauvert, Paris, 2002, 250 p.
  • Les Demeures philosophales et le Symbolisme hermétique dans ses rapports avec l'art sacré et l'ésotérisme du grand-œuvre. Préface de Eugène Canseliet, F. C. H. Ouvrage illustré de 40 planches, d'après les dessins de Julien Champagne Paris, Jean Schemit, libr., 1930. (22 novembre.) In-8, XI-351 p. [1823]. Dernière réédition : Société nouvelle des Éditions Pauvert, Paris, 2001, 2 volumes (470 et 390 p.).

Voir aussi

Bibliographie

  • Frédéric Courjeaud Fulcanelli. Une identité révélé éd. Claire Vigne, Paris, 1996
  • Geneviève Dubois : Fulcanelli dévoilé, éd. Dervy, 1992, 216 p.
  • Kenneth Rayner Johnson: The Fulcanelli phenomenon : the story of a 20th century alchemist, Jersey, 1980.
  • Patrick Rivière : Fulcanelli, collection Qui Suis-je ?, Éditions PARDES et Fulcanelli, sa véritable identité enfin révélée. La lumière sur son œuvre, Éditions de Vecchi.
  • Richard Khaitzine : Fulcanelli et le cabaret du Chat noir, Éditions Ramuel, Paris, 1997, 336 p.
  • B. Allieu, B. Lonzième, Index Général de l'Œuvre de Fulcanelli, Éditions les Trois R, Le Mesnil Saint-Denis, 1992
  • Jean Artero, "Présence de Fulcanelli", Arqa, Marseille, 2008 [1]
  • Géraud de Barail,"L'île rouge", roman, Arqa Marseille, 2009.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. a  et b Antoine Faivre Fulcanelli Encyclopaedia Universalis
  2. http://www.evasion.ch/alchimia/Page1.htm
  3. revue La tour Saint-Jacques, n°8 1962 pp. 181-204
  4. http://hermetism.free.fr/personne%20Fulcanelli.htm
  5. http://www.archerjulienchampagne.com/article-2171804.html
  6. Fulcanelli, un secret violé, GROSSE, Walter éditeur, Lisbonne, Portugal, mai 2009
  7. ‎Dubois Geneviève‎ Fulcanelli dévoilé‎ éditions Dervy 1992
  8. Jean-Paul Dumont Deux hypotheses concernant l'interprétation stoïcienne de l'art tinctorial : Alexandre d'Aphrodise et la villa des Vettii in Jean-Claude Margolin et Sylvain Matton, Alchimie et Philosophie à la Renaissance, Vrin, 1993, p. 328.sur googlebooks
  9. Eugène Canseliet préface à la Nouvelle Assemblée des Philosophes Chymiques de Claude d'Ygé (éditions Dervy, 1954)
  10. http://alchymie.net/critiques/finis_gloria_mundi.htm
  11. Robert Halleux, Les textes alchimiques, Turnhout (Belgique), Brepols, 1979, p. 148-153.
  12. «  Emblems and devices on a ceiling in the château of Dampierre-sur-Boutonne », in Journal of the Warburg and Courtauld Institutes, 46 (1983), p. 221-228 et pl. 32-35.
  13. Antoine Faivre Accès à l'ésotérisme occidental, 1986 rééd en 1996, tome I pp. 111-115
  14. Didier Kahn Alchimie et architecture : de la pyramide à l'église alchimique publié dans : Aspects de la tradition alchimique au XVIIe siècle - Actes du colloque international de l'Université Reims-Champagne-Ardenne (Reims : 28-29 XI 1996). Franck Greiner (Ed.). Paris - Milan : SEHA - Arché, 1998. 518 p. (Textes et travaux de Chrysopoeia, ') pp. 295-335
  15. Didier Kahn Architecture, Réforme et alchimie en Franche-Comté vers 1560, dans : R. Caron, J. Godwin, W. J. Hanegraaff, J.-L. Vieillard-Baron (éd.), Ésotérisme, gnoses et imaginaire symbolique : mélanges offerts à Antoine Faivre, Louvain : Peeters, 2001 (Gnostica, 3), p. 91-99.
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